Les récits, histoires, aventures et textes érotiques voir sexe

Cette rubrique vous est encore consacrée avec vos récits et petits histoires coquines: vos expériences érotiques....
Que de plaisirs de lire ces histoires!!!!
Si vous souhaitez faire parti des heureux narrateurs n'hésitez pas à m'envoyer vos aventures à plaisirs.solitaire@free.fr

Soirée torride

Ce week-end, je suis allé dormir à l'hôtel avec ma copine, nous avions passé une très bonne soirée, resto avec en guise de dessert, une petite partie de jambes en l'air qui nous permet de finir agréablement cette journée…
Nous commencions à nous endormir quand on a commencé à entendre une sorte de grincement qui s'amplifiait de plus en plus et titillait notre curiosité. Soudain des cris vinrent accompagner ces bruits, la situation n'était plus tenable, nous étions tous deux si excité, nous nous frottions l'un contre l'autre dans le lit quand je lui est murmuré à l'oreille l'idée d'aller jeter un œil par le balcon pour voir un peu ce qui ce passé dans la chambre d'à côté.
Une fois sortie nous avons enjambé la petite barrière qui séparait les deux terrasses et nous nous sommes penchés discrètement à la fenêtre et la, nous vîmes enfin la scène qui allait avec le son… C'était un jeune couple comme nous, la fille était mince, très sexy avec son minou tout lisse et l'homme était élancer et très très bien monté.
Je me suis appuyé alors sur le bord du balcon et pris ma chérie dans mes bras pour pouvoir la caresser. C'est la que je me suis aperçu que cette situation l'excitais autant que moi.
Nous avons donc décidé de retourné dans notre chambre histoire de les imiter et elle commença à soupirer dès les premières pénétrations, mon excitation monta crescendo tout comme le niveau sonore de ses cris. Et c'est ainsi que se mit en place un concourt de bruit avec la chambre voisine…
Cette histoire ne s'arrêta pas à cette nuit là, car le lendemain lorsque nous sommes descendu, pendant que nous prenions le petit déjeuner, le couple si excitant descendit aussi.
Ma copine n'arrêtait pas de les déshabiller du regard et fini par me demander de remonter dans la chambre. Sur le chemin du retour, je m'aperçu que son minou était déjà tout mouillé, j'ai pus ainsi passé encore un excellant moment.
Le seul regret de cette histoire fut que nous n'avons pas eu le courage de leur faire part de l'excitation qu'ils nous avaient donné, ni de les remercier…

cjim06 

Une soirée souvenir sexe

Editer le messageSupprimer le messageRapporter le messageAvertir l'utilisateurInformationsRépondre en citant le messageUne soirée...dont je me souviendrais
de Damian » 04 Nov 2009 à 19:08

Voici une histoire vraie qui remonte a quelques temps.

Je me trouvais avec quelques amis dans une boite ou avait lieu un concert.
Très rapidement j'aperçois une femme peut être 40 ans , dansant sur la piste qui me regarde avec insistance.
Je m'approche d'elle, regard de braise et sourire accrocheur, nous dansons un peu.. au bout d'une minute, elle s'approche de mon oreille et m'annonce de but en blanc :
  • " ma copine n'a pas de culotte...",
Le sang me monte instantanement à la tête et, sans hesiter, je passe la main sous la jupe de la copine, sans me rendre compte un seul instant des consequences que pourrait engendrer un tel acte sur une parfaite inconnue, trop excité par la situation.
La fille a peine surpris, n'eut forte heureusement aucune mauvaise réaction.
Je me retourne alors vers la femme et lui dit avec decontraction :
  • " mais , si elle a une culotte;-)"...
Fin du premier acte,le concert commence, je laisse ces coquines pour retrouver mes amis.
A l'issue du concert, mes amis ayant decidés d'aller prolonger la fête ailleurs, je retourne voir la femme, lui proposant de finir cette conversation chez moi.
Elle me retorque:
  • "je suis avec quelqu'un, ça va pas très fort avec lui , je doute, c'est peut être pas une bonne idée..."
En parfait gentleman, n'ayant pas l'intention d'insister davantage, je lui répond :
"aucun problème, je comprends...",
et m'en retourne pour continuer la soirée.
Au moment ou je m'eloigne, la femme me susurre:
  • "c'est dommage, je suce super bien"....
C'en est trop !
Sans un mot, je l'agrippe par le bras et l'entraine vers les toilettes pour hommes de la boite.
Excité comme jamais, je tambourine à la porte qui etait fermée en criant :
  • "c'est pour une urgence !",
la porte s'ouvre, la personne qui en sort nous regarde ahuri, un sourire un rien guoguenard, nous nous enfermons dans les toilettes.
S'ensuit une pipe d'anthologie, elle, s'interrompant pour me lancer des mots crus:
" hmm elle est bonne ta bite..."
qui se finira par une ejaculation buccale en bonne et due forme.
Nous sortons des toilettes, elle part de son côté, je continuerais la soirée dans un etat second...

Damian

Confession de Séverine

    Un soir en rentrant du travail , j'ai eu envie de faire plaisir a mon homme ,donc après une petite douche , je me suis mise en petite lingerie. J'étais en nuisette et string noire transparent , et des bas noirs coutures.

Donc je me baladais dans la maison en petite tenue avec mes tallons haut , attendant impatiemment le retour de mon homme , déjà toute émoustillée en pensant a lui.
Un peux plus tard dans la soirée , je reçois un coup de fil de lui me disant qu il allait être en retard...quel déception moi qui me faisais une joie de lui sauter dessus.
Je suis montée a l'étage dans la chambre , ou je me suis assoupie un petit moment. A mon réveil , toujours autant excitée , je me suis mise a me caresser. Je commençais tout d'abord a glisser les mains sous ma nuisette , me malaxant les seins , jouant avec mes tétons tout durs. Puis je glissa la main sur mon sexe , caressant doucement mon clitoris avec le majeur  pendant un bon moment au dessus du string. Étant tout chaud a ce moment j'ai glisser mon string mi cuisse , puis recommença a  jouer avec mon clitoris , insérant de temps en temps un puis deux doigts dans mes parties intimes toutes humide de plaisir. Je ne sais pas combien de temps ça a durée , mais a un moment j'ouvris les yeux , et quel surprise mon homme en train de me regarder , j'ai été surprise et gênée , mais je continuai a me masturber devant lui.. il commença a faire de même , il se masturbait au dessus de moi , éjacula une première fois sur mes bas , puis sur ma nuisette , je me caressais avec son sperme , j'avais jamais été autant excitée.

On a bien sur fini par faire l'amour.
Depuis ce temps , lorsque je met cette même lingerie , on se masturbe l'un devant l'autre, lui éjaculant sur ma lingerie, je ne sais pas pourquoi mais j'adore ça.

Séverine

Plaisirs solitaires

Je pense à toi. Il est tard, la lumière est éteinte.
Ma main caresse doucement mon sexe, j'ai les yeux fermés…
Ca y est, je te vois. Tu es nue, allongée sur le ventre, offerte.
Maintenant ma main est autour de ma queue et commence de doux va et vient.
Je m'imagine te pénétrer par derrière, j'entends presque ton râle, je ressens ta peau, ton odeur, ta douceur, je suis allongé sur toi, mon visage contre ton cou, enveloppé par les caresses de tes cheveux.
Ma main commence à me serrer plus fort, les va et vient se font plus intensifs.
Je te chevauche maintenant. Tu es à quatre pattes, je suis sur toi. Ma queue s'enfonce de plus en plus profondément dans tes fesses, de plus en plus rapidement, au rythme de mes coups de reins. Tu cris ton plaisir « encore », « oui va y plus fort », « encule moi ».. je deviens fou…
Je sens des tressaillements dans mon sexe, je serre mes doigts encore plus fort. Je ralentis les va et viens de ma main.
Dans mon délire, tu cris ou plutôt tu hurles « oh mon dieu, c'est bon… »
Et là, j'éclate… un jet vient de sortir de mon sexe. Une longue trainée de sperme s'étale jusqu'à ma poitrine… je me sens bien… Du plaisir à l'état brut.
Le sommeil et la torpeur me gagnent ….
Ensuite, je me mettrai sur le coté et m'endormirai. Ma dernière pensée sera pour toi.. tu es dans mes bras.

Miam-miam

Jeudi de liberté

Voilà déjà 3 semaines que tu es en vacances mon Amant Chéri et mon ventre a faim de plaisir alors je profite de mon jeudi de liberté pour venir Bd de Clichy la ou tu m' emmènes de temps en temps chez Rachid ?

Je n' ai que ma petite robe courte boutonnée sur le devant et dessous seulement mon soutien gorge balconnet ! Pas de culotte. Pas de rouge aux lèvres car cela ne servirait a rien ?

Lorsque j' entre dans le Sex Shop les regards des clients présents me dévisagent et Rachid m' accueille gentiment.

" Bonjour petite salope ton amant m' avait prévenu que tu viendrais certainement alors j' ai prévu de quoi satisfaire ton cul " !

" Viens dans la cabine que tu connais bien et met toi a poil il y a du monde prêt a te baiser et plus encore, mais en attendant tu vas commencer par me sucer hein ma Pute " ?

Me voilà en rien de temps nue avec la bite de Rachid dans la bouche. Je lui masse les couilles et très vite il décharge au fond de ma gorge. Plusieurs types attendent chacun leur tour que je les suce eux aussi et les bites se succèdent dans ma bouche et j' avale beaucoup de sperme coup sur coup !

Rachid satisfait de ma mise en bouche m' entraîne dans la petite salle ou il y a des accessoires divers suivit par d' autres types la bite a la main ?

Rachid m' allonge sur une gros pouf le cul en l' air les cuisses écartées.

"Allez y les gars elle est venue pour se faire baiser et enculer alors ne vous privez pas et ceux qui veulent lui décharger dedans pas de problème c' est une bourgeoise bien propre " !

Aussitôt une bite me remplie la chatte et de suite mon plaisir est total et je commence a jouir sous les coups de bite de cet inconnu. Il accélère son rythme et de suite je sents son foutre au fond de mon ventre. Un autre le remplace aussitôt et c' est un défilé sans fin de bites dans ma chatte ou dans mon cul.

Rachid revient m' avertir qu' en attendant d' autres clients je vais devoir essayer les gadjets en vitrine ?… Ce sont des godes de différentes grosseurs que l' on m' enfonce dans la chatte et dans le cul ? Au début pas de problème mais cela devient de plus en plus gros et si ma chatte accepte facilement les plus gros mas mon cul et je commence a demander que l' on arrête mais cela fait rire Rachid.

" Cela ne fait que commencer Salope. Tu vas voir que tu vas en digérer de bien plus gros en attendant que des amis noirs viennent te ramoner la chatte et le cul " !

Je commence a souffrir et des larmes coulent sur mes joues mais personne n' y prête attention.

J' ai l' impression comme souvent que je vais être déchirée, mais non tout passe même l' énorme gode que vient de pousser Rachid au fond de ma chatte ?

Ensuite pour me réchauffer le cul comme il dit Rachid prend un martinet et commence a me fouetter les fesses. Rapidement j' ai les fesses qui me brûlent. Rachid frappe de plus en plus fort et je ne peux m' empêcher de nouveau de le supplier d' arrêter !

Il continue encore un peu et en fait je suis sauvée par l' arrivée de plusieurs grands noirs leurs bites monstrueuses a la main ?

Je vais de nouveau avoir mal  la chatte et surtout dans mon cul ?

Le premier qui me prend s' enfonce doucement en moi et je me mets aussitôt de nouveau a sentir un plaisir immense envahir tout mon corps et je le crie a tous.

" Oh ! ouiiiii ! Oui, Chéri vas y c' est trop bon, encore vas y " !

Du coup le noir accélère ses coups de bites en moi et il décharge lui aussi au fond de mon ventre.

Un autre le remplace et c' est ainsi de suite jusqu' a ce que tous ai vidés leurs couilles en moi ?

Je suis rentrée épuisée Chéri, mais heureuse !


Guy

Fantasme

Mon plus grand fantasme est de faire l'amour avec cinq hommes en même temps sans que je ne les voie. Un jour que je faisais pare de ce fantasme complètement fou à une amie in-time, celle-ci me dit que ce fantasme était tout à fait réalisable à condition de prendre des précautions. Dès le lendemain, nous nous mîmes à la recherche d'hommes me convenant sur Internet. Nous sommes allée sur des chats érotiques et on a discuté. Rapidement on a trouvé des hommes intéressés. Nous leurs avons demandé de nous contacter sur MSN®. Là, on leurs a demandé une photographie de leur attribut. Je ne voulais pas voir leurs visages. En plus, mon amie leur demanda de faire le test VIH et de nous le montrer. Ceci car je me ferais baiser sans préservatif. Le but étant d'avoir le maximum de foutre en moi. De mon côté, je prendrais la pilule trois mois avant cette soirée et je me poserais un diaphragme le jour même. Deux précautions valent mieux qu'une. Après deux semaines de recherche et de démarche administrative, nous tenions nos cinq hommes. Ils habitaient tous à plus de cent kilomètres de chez moi évitant ainsi tout contact fortuit pouvant être gênant.
Le jour attendu était enfin arrivé. La soirée aurait lieux dans un hôtel de passage. Mon amie vint me rejoindre chez moi vers quatorze heures afin qu'elle m'aide à me préparer. Mon amie et moi sommes très intimes. Je dirais même beaucoup plus encore. Nous faisons souvent l'amour ensemble. Elle m'aida à prendre mon bain et à épiler complètement mon sexe et mon anus. Mon amie ne pu pas s'empêcher de me faire une petite mi-nette à mon sexe tout lisse. Nous vérifiâmes une énième fois les testes VIH et les photographies des bittes qui allaient me baiser par le cul et la chatte. Je ne suçais pas les bittes dans cette soirée. Cela en avait découragé certains. Juste avant de partir au rendez-vous, je fis un lavement anal pour être parfaitement clin de se côté-là. Vers dix sept heures, nous nous rendîmes à l'hôtel. Nos étalons devaient arriver une heure plus tard. Je regardais un cours instant la chambre avant que mon amie ne pose un masque sur mes yeux. Je ne de-vrais l'enlever que beaucoup plus tard après le départ des cinq hommes. Je portais juste une paire des bas-résilles noires et un porte-jarretelles assorti. Je restais dans le noir un moment perdant peu à peu la notion du temps. Mon amie était assise à côté de moi et lisait une revue. J'entendis frapper à la porte. Mon ami se leva et alla vérifier qui était là. Après vérification des testes VIH, les cinq hommes entrèrent dans la chambre. Mon amie donna les dernières recommandations.
                " Messieurs, vous êtes la pour baiser cette salope ici présente par la chatte et par le cul. Sa bouche vous est interdite. Vous avez le droit si vous avez envie de l'insulter tout en restant convenable. Je vous averti que je vais rester avec vous pour garantir la sécurité de mon amie. Messieurs je vous laisse vous amusez.
Toutes les personnes acceptèrent les conditions. Je sentis rapidement une main se poser sur mon corps puis deux puis une multitude. Mes sens étaient aux aguets. Mes seins durcirent. Mon sexe s'humidifia plus que d'habitude. Une des hommes s'en aperçu et le fit remarquer aux autres.
                Regarde cette salope mouille déjà avant même que je ne lui ai mit ma grosse bite.
                Je vais vérifier cela tout de suite.
A la suite de ces mots, je sentis la première bitte s'enfoncer en moi dans le vagin. J'étais à ce moment là allongée sur le dos. Il me lima quelques coups et jouit rapidement. Il devait être trop exciter. On me prix la main et on me la posa sur une bitte. J'entrepris de la branler. Pendant ce temps, on commença à s'occuper se mon petit cul. Un des hommes me retourna et coinça un oreiller sous mon ventre afin de me surélever le cul. Il cracha sur mon anus avant de me le doigter afin de m'élargir le conduit. La position n'était pas la plus confortable qu'il soit. J'étais appuyée sur les épaules et les deux mains occupées à branler des bites bien raides. Je sentis le gland de cet homme se poser sur ma rosette anale. J'allais la sentir celle la vu la taille du gland que je devinais. Il s'agrippa à mes hanches et commença à s'introduire en mois. Je délaissais un moment le branlage des deux bittes pour me con-centrer sur la queue qui allait me défoncer le cul. Ma rosette se dilata autour du gland. Cela ne me fit pas trop de mal car j'avais assoupli mon anus un peu avant avec un gode et un plug anal. Il me lima à petit coup de rein. A chaque fois sa verge me pénétrait un peu plus profond. Il fut rapidement entrer en moi jusqu'à la garde. Il me laissa m'habituer à sa bitte puis il commença à me bourrer le cul de coup de rein d'abord douce-ment puis de plus en plus rapide.
                " Ben dit donc tu lui en met une sacret dans le cul à cette salope,
                Elle a vraiment un cul génial cette grosse chienne. C'est serré et tout chaud. Je vais juter vite fait. "
Ces compliments grossiers me flattèrent tout de même. Effectivement, je sentis de longues giclées de sperme chaud m'inondèrent le cul. Je me remis à branler de plus belle les deux queues que j'avais dans les mains. Les deux mecs que je bran-lais me jouirent sur le dos. Je me mis ensuite à quatre pat-tes. La position offrait l'avantage d'offrir mes deux orifices aux bites de ces messieurs et d'être plus confortable. Une autre bitte, plus petite m'encula. Elle était moins grosse mais plus longue. Elle buttait au fond de ma matrice. Mes seins pendaient. Des mains vinrent de peloter la poitrine sans ménagement. Cette rudesse m'excita encore un peu plus. Il jouit dans mon cul comme le précédent. Ce fut mon vagin qui eut toutes les futures attentions. Les cinq hommes y passèrent et laissèrent leur foutre chaud et gluant. Ma chatte débordait à chaque nouvelle pénétration. Les cinq hommes commencèrent à bander mou. Mon amie voyant se faite s'occupa d'eux. Elle leur fit un somptueux striptease qui redonna de la vigueur à leur érection. Je fus de nouveau assailli. Mon anus ne se refermait presque plus quand un homme se retirait. Mon sexe dégoulinait de foutre. Cette fois si les mecs n'en pouvaient vraiment plus. Ils prirent congés de nous. Nous restâmes toutes les deux. Je restais en position de levrette. Mon fantasme n'était pas pour autant terminer. Mon amie prit son appareil photo numérique et me photographia dans tous les angles et surtout en très gros plans. Je savais très bien ce qu'il allait se passer ensuite. C'est moi qui avais demandé à ce que cela se passe ainsi. Mon amie ouvrit un sac de voyage. Elle y trouva un gode ceinture. Le gode était de forte taille. Il mesurait trente et un centimètres de longueur et cinq de diamètre. C'est moi qui l'avais acheté dans un sexe shop tout dernièrement. La vendeuse m'avait promis beaucoup de plaisir avec et surtout bonne chance. Je ne l'avais jamais essayé. Elle passa la ceinture autour de sa taille et ajusta les lanières à sa taille. J'étais toujours dans le noir complet. Mon amie ne dit pas un mot. J'étais toujours en position de levrette. Elle présenta le gland du gode à l'entrée de mon vagin. Elle poussa un petit coup. Le gland entra facilement. Les bittes qui m'avaient baisées toute la soirée m'avaient bien dilatées le con. Elle en-fonça la verge du gode en moi. Le gland butta contre mon col de l'utérus. Mon amie me lima doucement faisant ressortir à chaque fois le gland de mon vagin. Elle le réintroduisait aussitôt d'un coup de rein. Mon sexe faisait un bruit humide à chaque pénétration. Je sentais ma jouissance approcher à grande vitesse. Mon amie accéléra la cadence. Je sentis des frissons parcourir tout mon bas ventre. Mes muscles vaginaux se contractèrent sur le gode. J'eu un sublime orgasme qui me laissa chancelante sur le lit. Mon amie me réanima en me caressant adroitement la poitrine. Elle savait y faire je peux vous l'avouez. Cette soirée n'était pas encore terminer me rappela t-elle. Elle me présenta la bite du gode pour que je la nettoie avec ma bouche. J'ai lavé le gode à grand coup de langue avalant mon propre jus et celui des cinq hommes qui m'avaient baisés juste avant. Je n'eus pas le temps d'en profiter. Mon amie passa derrière moi et cette fois si présenta le gland du gode à l'entrée de mon anus. Le gode était plus gros que les bittes des hommes. Mon amie dû forcer un peu pour m'enculer. Elle y arriva quand même avec beaucoup de patience. J'avais vraiment l'impression d'avoir un gros concombre dans le cul. Elle me lima un moment le cul avant de se retirer. Elle prit une nouvelle série de mes orifices dilatés. Mon amie retira son équipement et elle m'enleva mon masque. La lumière me fit mal aux yeux. Je me suis allongée sur le lit et j'ai repris mes esprits. J'avais mal partout. La soirée était ter-minée. Il allait falloir rentrer chez nous. J'enfilais une culotte montante et moulante pour contenir le sperme des hommes. Je me suis habillée et j'ai embrassée longuement mon amie. Nous nous quittâmes devant l'hôtel. Sur le chemin du retour un homme voyant ma tenue sexy me prit pour une prostitué. Il me demanda si je voulais recevoir son foutre en moi. Je lui ré-pondis poliment que j'avais eu largement ma dose de sperme pour cette soirée. De retour chez moi, je pris une douche et entrepris de laver en grand tous mes trous d'amour. Avant de m'endormir, je mis une crème raffermissant et apaisante sur mon sexe et mon anus. Le lendemain matin à mon réveil plus rien ne restait de ma soirée. C'était juste un rêve, un de mes nombreux fantasmes...

Tondoudou

Ma premiere experience a 3....

faut que je vous fasse part d'une révélation,
hier soir dans le métro en rentrant du boulot je vois ces 2 mecs souriants, je croise leurs regards, ils me plaisaient bien mais je n'ose pas dire un mot.
Un des deux me demande l'heure, je lui réponds 19h30, il me dit qu'ils sont en permission, ils ne connaissent pas Paris et qu'ils cherchent un bar pour passer du bon temps.
Je leur réponds que j'en connais un relax au quartier latin là ou j'habite. Ils me demandent de leur montrer. On descend ensemble à la station Sorbonne, et nous marchons ensemble et arrivons au bar ou je leur dit que moi je vais rentrer.
Ils me remercient et me demande si ils peuvent me payer un verre pour me remercier. Je leur dis "ok" mais après je rentre.
... Je suis rentré effectivement, quelques verres plus tard, et avec ces 2 inconnus. Ils ont été de vrai gentleman jusqu'au pas de ma porte.
Ensuite une fois la porte ouverte, ils me font la bise, puis m'embrassent le cou, un des deux glisse sa main sous mon pull et me touche la pointe des seins.
Je sens ma chatte mouiller instantanément. Ils se déshabillent et se masturbent devant moi, je les regarde en me mordant la lèvre, ils me prennent tous deux la main et me font sentir leur sexe chaud, je me laisse faire... au début.
Et puis excitée, je commence à les masturber doucement. Je suis si excité que j'ai peur qu'ils voient ma culotte toute mouillée. Mais peu importe, un me la fait glisser à terre. Je suis nue, il me touche la chatte, et pince mon clitoris : je gémie de douleur et d'extase à la fois.
Il me pousse sur l'autre, et m'écarte les jambes, l'autre derrière moi et lui devant ils me caressent et me rendent complètement folle. Les jambes écartées devant moi, il commence à me pénétrer doucement, je me pince les lèvres. L'autre commence a me tripoter les fesses, et me taquine l'anus avec son doigt... J'adore ça.
Je lui prends son sexe à pleine main, et le force contre mon anus. Il a l'air surpris. Pourtant il s'exécute. Et là, la révélation : 2 hommes en moi, un dans mon cul et dans ma chatte, c'est l'extase inespérée, je ronronne comme une lionne en chaleur, je cris, je hurle, je les pince, je les frappe, et ils me défoncent de partout comme jamais cela m'était arrivé.
J'atteints l'orgasme quand je le sens éjaculer dans mon anus, immédiatement suivi du sexe de l'autre devant moi me tapant sur le ventre et éjaculant entre mes seins. Quelle jouissance, quel orgasme, quelle extase.... Le trio c'est bien une révélation, et je vous supplie, si vous avez un ami, de venir me contacter afin qu'on se rencontre.

Charlotte

Mes écrits pornographiques

nous nous retrouvons au restaurant apres un coup de telephone passe la veille... repas agreable, on discute de tout et de rien puis je regle rapidement sans te laisser choisir un dessert car je te sous entend que ton prefere t'attend sagement ailleurs...
je te conduis a l'aeroport ou je me gare devant un hotel de luxe... tu es ravie et me suis sans esitation... dans l'ascenseur je t'explique au fur et a mesur en quoi consiste ton dessert; avant de te rejoindre au restaurant , j'ai installe la chambre pour consommer le mieux possible... en rentrant, tu decouvres un grand lit ,une tele lui faisant face avec une camera dessus... je t'incite alors a fouiller les placards... tu te retournes vers moi et avant que tu parles je t'explique que j'ai fait en sorte que tu disposes d'un "sexshop" rien qu'a toi... tout y est, sextoys et lingerie en choix tres vastes... je te fais par du deroulement de la soiree, tu vas me faire un defile prive que j'immortaliserai avec l'appareil photo numerique histoire de chauffer la piece coquinement... bien sur , le defile sera de plus en plus hot avec nos propres choix...
ca commence...
habillee de cette salopette -k3.jpg- , tu marches doucement en roulant tes fesses jusqu'a moi , je prends trois photos et caresse legerement tes fesses puis tu repars te changer... tu reviens alors moulee avec ce rose magique-kd4.jpg- que tu presentes en caressants tes jambes ; ce que je ne manque pas d'enregistrer dans l'appareil... ma bite subit deja tes effets... tu apparais maintenant avec cet ensemble-l2.jpg- qui m'oblige a desserer mon pantalon pour continuer a te shooter plus confortablement... je ne peux m'empecher de tes serrer debout contre moi en glissant une main sous ta jupe pour la laisser glisser sur tes fesses pour atteindre ton entre jambe que je frole afin de le faire fremir... puis t'invite a continuer ce defile... vetue de cet erotisme-photo-sexy-amateur%20(13).jpg- emanant de ton envie de me troubler par le detail des bas blancs qui m'oblige a liberer completement ma queue afin de la laisser gonfler... telle la belle salope qui s'installe en toi , tu entraines ton pied a froter ma bite pendant que les flashs se repetent... tu m'abandonnes et reapparais toujours en blanc-ndn_4077.jpg-pour brusquer mon excitation avec un aller retour furtif ... en repartant te changer, je te vois prendre quelque chose dans le placard sans savoir ce que c'est...
cinq minutes plus tard , tu t'avances d'un pas determine et te stop devant moi encore en blanc-bam_012.jpg- mais en tenant un gode que tu promenes langoureusement sur tes formes avant de le presser sur ta chatte par dessus ce shorty jusqu'a ce ta mouille l'imbibe visuellement... je ne peux resister a l'envie de branler ma queue mais tu m'arretes de suite et t'eloignes en balancant ton cul magnifique de gauche a droite... tu mets un peu plus de temps a me revenir mais c'est pour mon plus grand plaisir comble de cette ensemble-mq11.jpg-que tu arbores fierement en m'indiquant la fin du defile et le debut de la degustation ...
chaude a l'extreme , tu entreprends une danse qui mime une baise torride indiquant tes envies pornographiques... debout face a moi , je m'assois au bord du lit pour etre a hauteur de ce cul brulant ; j'ecarte ton string et enfonce deux doigts tres vite humide afin de te faire cracher , histoire de lubrifier le gode que je tiens dans l'autre main... bien tremper , il succede a mes doigts pour ecarter tes levres et s'introduire dans cette chatte en feu ; j'accelere mes mouvements et tes cuisses commencent a faiblir... tu tiens alors a peine sur tes jambes ,suffisament pour te jetter sur moi ... te voila alongee sur moi avec toutes les intentions cochonnes qui debordent de tes pensees de chienne...tu promenes tes mains sur moi pour les remplir de ma bite que tu positionnes devant ta bouche se tordant d'une faim sauvage... ta langue courre sur tes levres avant de les mettre en contact de mon gland qui s'engouffre profondement au chaud de ta bouche pour ensuite descendre le long de cette bite que tu veneres tant... tu me suces diaboliquement de sorte a me coller literallement au lit... tu accompagnes cette pipe de salive bouillante qui permet a tes mains branleuses de s'executer avec force... je decide de te renvoyer ce geste en plongeant ma tete entre tes cuisses et liberer des flux de salive pendant que ma bouche devore ta chatte... ma salive ruisselle jusqu'a ton cul et je l'utilise pour lubrifier ce petit trou attirant... mes doigts fouillent a tour de role puis en meme temps ces deux orifices qui jouissent de cette double masturbation... ton plaisir se traduit par de cris qui envahissent la piece t'obligeant a te redresser ; tu realises alors que la camera que j'avais emmener diffuse sur cette grande tele nos ebats de sexe pur... tu t'installes en levrette face a l'ecran et m'invite a embarquer la camera pour que je film ton cul se faire defoncer par ma bite extremement gonflee et dure ... tu te delectes de visioner ma queue disparaitre et reapparaitre de cette belle chatte lisse et baveuse pendant que tes doigts prepare ton petit trou a ce faire enculer profondement... ta main guide ma bite depuis ta chatte a l'entree de ce cul divin , tu l'aides a s'introduire doucement et la libere pour me laisser diriger les va et viens qui s'intensifient violaments ... toujours dans cette position, tu me fais part de ton desir de sentir mon sperme arroser ce trou acceuillant... la tele retransmet parfaitement ton souhait pour regaler tes yeux rives sur l'ecran , tu observes ,hypnotisee, mon jus se rependre partout sur ton cul , une partie s'engoufre dans ton petit trou pendant qu'une autre continue a recouvrir ta chatte...tu emmenes une main determinee a utiliser ses doigts pour jouer avec mon jus en l'aidant a s'engoufrer dans tes orifices... les quelques gouttes qui restes sur ces doigts, tu les offres a ta langue qui s'empresse de te satisfaire par son gout...
ayant satisfait le choix de ton dessert, tu decides de m'offrir le mien... tu m'offres libre choix de sa composition...
pendant que tu te douches , j'opere la preparation en optant pour ces costumes que j'aime tant-pp3- en invitant un gode qui se fixe sur la table par une ventouse... j'installe le gode pendant que tu enfiles majestueusement ton constume... une fois prete , tu te diriges vers cette table , tu ecartes ton string sur le cote en te penchant pour saliver sur le gode puis ecartes tes levres avec deux doigts et descends ton cul sur cette bite pour l'avaler de ta chatte deja trempee... j'oriente la camera de sorte a filmer impecablement mon dessert qui debute enfin... debout devant toi, ma bite fait face a ta bouche ,et , tu devines en quoi conciste mon dessert... tu gobes ma queue qui durcit dans ta bouche , une fois bandee au maximum tu demarres alors ma pipe preferee...
tout en remuant le gode energiquement dans ta chatte par les mouvements de ton cul , tu occupes ta bouche a sucer energiquement ma queue trempee de flux de salive que tu laches abondament pour me regaler... ma bite enfle de plus en plus, ta langue sent monter mon sperme que tu bloques en pressant avec ta main experte ma queue ... apres une bonne minute tu la ressors de ta bouche en la branlant d'un coup pour laisser mon sperme asperger entierement ton visage... des jets incessants le recouvre , t'en jouis comme ma belle pute que tu es et t'oblige a garder ta bouche ouverte pour te ramener moi meme avec ma bite tout ce jus en t'obligeant de le contenir jusqu'a ce que la derniere goutte soit entre tes levres ouvertes... tu te delectes alors de le boire en plusieurs gorgees... ton regard reflete la pratique parfaite que tu viens de m'offrir...


tomus

Contribution au plaisir de ma déesse

paris, un soir d'automne...

on se promene tous deux en flanant dans les rues plutot libertines de la capitale en guise d'elaboration de scenarios qui nous attisent tant... les visites de boutiques coquines se succedent et l'excitation nee doucement nous poussant a effectuer quelques achats... deux heures plus tard , mes bras portent trois sacs remplient de lingeries si presageante de l'evolution de la nuit a venir... on rentre dans un enieme magasin garni en choix mais pas seulement... il propose tous les genres de videos et tu descides d'en choisir une pour clore les achats... on regagne d'un pas empresse ta voiture ce qui denote l'echauffement mutuel de nos esprits... en arrivant a ta voiture , tu m'invites a prendre le volant ... pendant que je nous ramene a ton appartement, tu ne peux t'empecher de repasser en revue nos achats; provoquant chez toi un comportement allumeur se traduisant par quelques suggestions emenant de cette lingerie coochonne... tout en rengeant dans les sacs, tu continues a t'echauffer par des paroles destinees a me faire bouillir mais ca rend le trajet interminable pour nous deux... je te montre la bosse de mon pantalon et tu me regardes avec ces yeux satisfaits de tes agissements... on arrive enfin , tu ouvres ta porte et nous nous installons dans ton salon... notre excitation retombe legerement pendant que nous organisons cette piece en module de luxure... le champagne petille , les lumieres sont faibles et on s'assoit cote a cote pour qu'au bout de quelques minutes on se plaint de cette retombee d'effervescence... tu prends alors en mains les initiatives et decides de raviver nos ardeurs en commmencant par mettre le dvd en remplacement de musique de fond... l'effet est immediat pour nous deux, nos yeux se regalent des premieres images qui nous renvoyent la suite des agissements... tu m'imposes de t'habiller en premier temps par un de nos achats et je deviens embarasse tellement de choix sont a ma disposition...j'opte pour te faire debuter en ecoliere cochonne-5.jpg- en me rejouissant de te revetir tranquillement... une fois prete, tu endosses parfaitement ton role d'etudiante en sexe en me designant comme professeur pour me dire:" excusez moi professeur mais je n'ai pas compris le cours sur le cunnilingus, pourriez vous m'expliquez?" ; je te repond:" tres bien mademoiselle , assiez vous en avancant votre bassin au bord du canape..." tu t'executes en sourriant et en ecartant largement les cuisses... j'avance ma bouche a ta fente et demarre par un lechage du bout de ma langue sur le haut de tes levres afin de liberer ton clito qui enfle deja de plaisir... ma langue continue alors en ouvrant tes levres les preparer a la deuxieme phase de cette demonstration...je fouille avec vigueur toute cette surface erogene en aspirant quelques fois tout dans ma bouche ce qui te dechaine et t'oblige a t'agripper au canape... j'enfonce ma langue en toi en branlant cette chatte deja trempee , tu jouis longuement en mellant tes doigts a ma langue exploratrice... tu te redresses en me remerciant par cette lecon de preliminaire acquise... tu m'offres une nouvelle coupe pour annocer la suite de ce cours pornographique...
d'une voix sensuelle tu me dit:" maintenant proffesseur, voudriez vous m'aider a faire de moi une experte sexuelle? mettez moi dans toutes les conditions parfaites..." je demarre cette nouvelle lecon en expliquant l'importance de l'excitation visuelle :" observez mademoiselle les scenes de ce film devant nous attendant ... " tu regardes le film pendant que je choisi une nouvelle tenue...
"voyez vous chere eleve, le choix de la lingerie est primordiale pour faire de vous une experte, consumer votre partenaire sans meme l'avoir deja touche..." je t'habille deuxiemement en ecoliere plus experimentee-1004.jpg- et tu transpires d'envies salaces d'apprendre ... je continue les explications:" vetue comme ca , vous devez resentir le pouvoir sexuel que vous accompagnerez en jouant avec votre corps , objet de plaisirs, qui se cambrera afin d'afficher en premier plan vos courbes magnifiques..." tu mets en pratique parfaitement ma lecon en jouant avec ton corps pour m'offrir les vues suggestives de tes armes excitantes, tu remues ton cul en carressant tes seins et me demande alors de te noter... je degage mon pantalon et mon calcon en te devoilant ma queue bandee d'envies... je t'annonce que tu as la note maximum ce qui te rempli de satisfaction mais t'oblige a me reclamer la suite du cours... "approfondissez cette vision chaude par une evolution de gestes masturbatoires..." tu comprends tres bien en glissant un puis deux doigts dans ta chatte dans la meilleure position pour que je vois idealement ton application... la vue de ma bite te brule de l'interieur et te force a te faire jouir toute seule en laissant degouliner une mouille abondante le long de tes jambes... tu arretes pour reclamer la suite ... je cale une scene de pipe du film en te demandant de bien enregistrer les differents jeux de l'actrice...
je te mets a disposition un gode pour que tu apliques en meme temps cet apprentissage... tu reproduis encore mieux ce que tu vois en regalant ce gode d'une fellation hors norme... alors que la pipe a l'ecran se termine tu me dis:" puis je vous montrer ce que je viens d'apprendre?" je te reponds que oui mais depuis le debut ... alors tu te leves et te desabilles pour commencer ton epreuve par le choix de la lingerie-victorines_1967_24386022.gif- et une fois prete, tu ondules ton corps , carresses tes fesses et doigtes ta chattes en apportant des paroles cochonnes puis approches ta bouche sur mon gland et le recouvre entierement ... en remontant doucement, tu salives abondament sur son long et le branle intesement... je te felicite de la reussite de cet examun en arretant cette pipe avant de gicler ... j'ai des sueurs a cause de ma retenue de jouir mais t'invite a passer a la suite...
je t'explique juste que c'est a toi de faire comprendre et de diriger tes envies par des mots, une atitude et les positions...tu m'imposes alors d'etre ton cobaye pour cet exercice en pornographie... tu te mets debout en appuis contre un mur ,souleves une jambe avec ta main et m'envoies": viens me sauter comme une chienne , je suis une belle salope qui meure d'envie de sentir ta bite cogner au fond de ma chatte..." je t'attrape le cul et viens m'enfoncer entre tes levres; je m'active frenetiquement avec des aller retour rapides et forts qui declenchent ta fontaine , tu t'installes ensuite les jambes en l'air sur une table en ouvrant au maximum ta chatte pour que je la remplisse de ma queue enorme ... je te secoue dans tous les sens en serrant ton cul dans mes mains ...
je t'entend me dire ensuite :" viens m'enculer pour combler la pute que je suis..." tu es deja toute dilatee et j'entre aisement ma bite entierement pour t'assener de penetrations violentes... mes doigts s'occupes a fouiller ta chatte qui eclabousse sans arret ma queue qui s'active juste en dessous pendant que tu me reclames de t'indiquer comment exploiter mon sperme que tu sens pret a gicler... je t'explique alors qu'il faut que tu le reclames de se rependre sur ton cul bouillant... tu cris alors:" crache ton sperme sur mon cul de chienne!.." je sors de ton petit trou en me reculant legerement pour que tu sentes les jets puissants se rependre sur ton cul et l'innoder... pleine de jus , tu te leves pour que nous rejoignons le canape et boire encore en l'honneur de ton statut d'experte en pornographie maintenant acquis... tout en buvant tu continues d'etre une eleve salope en me disant:" j'aimerai aussi savoir comment exploiter ce sperme que j'aime tant?..." tu reclames un cours approfondit de ta demande si cochonne... tu decides alors de te servir de ce que t'as appris en te nettoyant apres t'etre devetue pour demarrer une nouvelle lecon...
je te propose un nouveau costume pour ce nouveau chapitre-DG-4249-M.jpg-qui est parfait pour ce perfectionnement...
j'introduis le depart de la mis en pratique par quelques explications :" pour utiliser le sperme idealement pour les deux partenaires, il faut que les deux puissent voir l'ejaculation parfaitement pour augmenter le plaisir de l'homme d'offrir et de la femme de recevoir... la femme doit ensuite s'en delecter ..." brulante d'envie tu conclues par la comprehension que seule une pipe repond a cette jouissante exploitation de mon jus et te mets en position pour la pratique... ma bite en bande deja et tu ouvres la bouche pour l'engoufrer et commencer a la pomper voracement... tu te repasses alors les images du film ou l'actrice jouait abondament avec sa salive et en fait de meme... tu liberes la salive qui afflux de ta bouche suceuse qui ne s'arrete meme pas pour moderer cette production liquide... tes mains glissent de cette inondation pour encore mieux me branler entre tes levres... ton regard exprime ton desir immense de recevoir mon jus brulant ; je controle ma jouissance pour t'en offrir une grande quantite , je t'apprends en meme temps que tu dois operer seule pour demmontrer ton envie de sperme en finissant cette pipe en ressortant ma queue de ta bouche pour la branler en direction de ta bouche qui restera ouverte pour acceuillir les jets abondants... mais ton envie de jus et si grande que tu devoiles une pratique experte pour une ejaculation encore plus genereuse en alternant la frequence de pompage jusqu'a ce que mon gland soit enorme...tu suis alors mes instructions... tu places ma queues a une dizaine de centimetres de ta bouche , lui crache dessus et la branle intesement pour liberer quelques secondes plus tard une rafale de jets qui remplissent ta bouche mais aussi recouvrent le bas de ton visage... tu avales d'abord ce que ta recu dans la bouche pour ensuite lecher tes doigts qui recoltent le sperme qui ruissele sur ton visage... satisfaite au maximum , tu delivres une force sexuelle qui te pousses a te doigter m'obligeant a maintenir ma bite dure pour remplacer tes doigts et te baiser violament en visitant a tour de role ta chatte et ton cul pour te faire exploser d'orgasmes violents ... je les defonce brutalement jusqu'a sentir une nouvelle montee de sperme que je t'oblige a receuillir dans tes mains qui l'etale sur tes trous brulants en te laissant quelques gouttes a boire...


tomus

Rencontre virtuellement sex

Je vais vous faire partager l'expérience "virtuelle" que je vis en ce moment... cho, cho ! Voilà depuis 1 an (déjà !), je suis en contact avec une femme 38 ans libertine à ses heures à qui je fais (enfin, j'essaie... ) de faire la court... pas évident, dur, dur de la ferrer !! En tout cas, ces derniers temps, nous sommes à 2 doigts de franchir le pas et de se rencontrer... je lui ai raconté comment pourrait se dérouler notre 1ère rencontre... à la manière d'écrire de Littlemiss !!!


"… je remonte l'avenue Jean Jaurès ; je suis une multitude de voiture qui me donne l'impression de ne pas avancer ; j'aperçois ta rue, au loin, sur la droite… encore une cinquantaine de mètre… je mets déjà mon clignotant… je rêvasse à l'idée de te rencontrer quand tout d'un coup je manque de renverser un piéton qui tentait de traverser… un signe de tête pour m'excuser, je reprends mes esprits et m'engouffre dans ta rue…Je suis presque à l'heure… 5 minutes de retard par rapport à l'heure que tu avais convenue, j'avais bien calculé mais les embouteillages à Belfort sont imprévisibles… Je suis maintenant devant ton interphone…

j'hésite un instant mais ma détermination me fait inconsciemment appuyer sur le bouton… Ca y est, je ne peux plus faire demi-tour… les 10 secondes durent une éternité quand j'entends ta voix… :
  • oui ? Après un soupir…
  • c'est moi, Mick…
  • je t'ouvre…

Arrivé dans le hall, je me souviens d'un de tes mails où tu m'expliquais le chemin pour arriver à ta porte… je monte les escaliers doucement, je fixe le sol, je suis perdu dans mes pensées… j'appréhende certainement le moment où tu ouvriras ta porte… à quoi bon, nos échanges ont été si… parfaits… Ca y'est… ta porte se dresse devant moi… elle est déjà entre-ouverte…
« vas-y, entre… » Je pénètre doucement dans ton hall tout blanc… je referme la porte et par habitude, je me déchausse…
Tout d'un coup, tu apparais avec le sourire… je te réponds par un sourire et m'approche pour t'embrasser… une bise puis une autre… dans l'est de la France, c'est la coutume… je te trouve séduisante, et l'odeur de ton parfum ajoute à cette scène une agréable sensation de bien-être et d'apaisement… je suis rassuré. Je pose ma veste sur le porte-manteau et te suis dans le salon… j'observe ton appartement et contemple les cadres ornant les murs… de beaux paysages…

L'odeur du café, dont j'aperçois son contenant sur le rebord de la table, s'est répandu dans la pièce signe que tu avais préparé ma venue… un nouveau soulagement… je m'assoie sur le canapé, tu restes debout… après un bref silence, tu engages la conversation :
« - alors, ça va ? Comment me trouves tu… en vrai ?
  • tu devrais dire « de près »… car je t'ai vu en vrai déjà… mais de loin… … tu es ravissante… non, vraiment…
  • ah oui, c'est vrai que tu m'avais espionné !! » dis tu avec le sourire…
  • Effectivement, et vraiment je regrette de ne pas avoir eu plus de temps pour attendre ton retour à ton appart… là je t'aurais interpelé… … enfin, je pense… »
Tu t'es assise auprès de moi, une tasse de café à la main… Nos échanges durèrent une bonne heure, se remémorant certains de nos mails, quelques anecdotes de notre vie privée… … soudain, dans un moment de silence, je pose ma main gauche sur ta cuisse… ton soupir et ton frémissement m'encourage à poursuivre… je commence par débouter ton chemisier… 1 bouton puis, 2… laissant entre-apercevoir la dentelle qui cache l'image gravée dans ma mémoire de tes si jolis seins…."


« soudain, dans un moment de silence, je pose ma main gauche sur ta cuisse... ton soupir et ton frémissement m´encourage à poursuivre... je commence par déboutonner
ton chemisier... 1 bouton puis, 2... laissant entre-apercevoir la dentelle qui cache l´image gravée dans ma mémoire de tes si jolis seins....
… aucun des boutons n'opposent de résistance et bientôt, cette première défense de coton sera désuète… doucement, je découvre ton épaule, laissant glisser la manche le long de ton bras… lentement, j'approche mes lèvres de ton cou, ton parfum m'étourdissant davantage… dans le creux de ton cou, je dépose 1 baiser… tout en descendant sur ton bras, je sens du bout des lèvres quelques frissons te parcourir malgré la chaleur qui semble régnée dans la pièce… mon cœur s'affole et mes gestes deviennent de moins en moins précis… tu fermes les yeux pour apprécier, certes, ces quelques gestes maladroits… mais surtout la légèreté de ma langue humide qui parfois frôle ta peau si délicate…
Ca y'est ton chemisier n'est plus… je le laisse tomber sur le sol… c'est alors que tu me repousse habilement et m'adosse au canapé… tu m'enjambes délicatement et t'assoies sur mes genoux… mon regard est attiré par ta jupe que tu es obligé de remonter à la limite de l'indécence me laissant apercevoir des bas… mon pantalon, plutôt ample, ne laisse rien apparaître de mon exaltation… à ton tour, tu commences à enlever mes boutons, les uns après les autres… mon torse imberbe et lisse comme de la soie se dévoile peu à peu… tes mains parcourent mes pectoraux et remontent le long de mon cou… tu ressens l'agréable douceur de ma peau au bout de tes doigts…
Je pose mes mains sur tes cuisses, remonte le long de tes bas pour parvenir à toucher ta peau… je caresse tes fesses, j'en raffole déjà… l'absence d'étoffe m'aiguille… je sens la petite ficelle qui remonte en haut de tes fesses…
Peu à peu tes caresses s'attardent sur mon ventre… mes petits excès sont là… point de tablettes dures comme du rock mais de petits marshmallows plaisant à toucher… délicatement, tu déboucles ma ceinture et déboutonne mon pantalon… tout en reculant, tu l'abaisses à mes pied laissant apparaître mon intimité, un boxer noir… en revenant, je m'avance ; je passe une main dans les cheveux et te vole un baiser sur la bouche… je sentis furtivement ta langue puis je repris ma position…
D'un léger doigté, tu écartes mon sous-vêtement pour libérer mon sexe peu poilu (ndlr : rasage oblige !) … celui-ci se dresse puis retombe sur le coté comme incapable de te faire honneur !… tu le saisis, approche ta bouche… ta langue commence à remonter de sa base vers son sommet… et inversement… mon sexe est maintenant dans ta bouche… mes soupirs en disent long sur ce fabuleux moment… mes mains dans tes cheveux suivent chaque mouvement précis et je me laisse envahir par la tourmente… après quelques instants, je te relève et t'attire pour une nouvelle fois t'embrasser… je sens l'humidité sur tes lèvres et je partage avec toi cette « sève » annonciatrice…
C'est alors que je te couche adroitement sur le dos… je te soustrais de ta jupe et m'attache à faire glisser ton string… une fois libérées, tes jambes s'écartent comme une invitation au plaisir… sans perdre un instant, je me penche sur ce sexe ouvert à moi… ma langue frôle tes petites lèvres… ces petites mouvements de bas en haut provoque en toi de petits gémissements… je m'attarde un instant sur ton clitoris, tu soupires puis je continue subtilement ma ronde… je caresse avec mon doigt ton anus… je prends également beaucoup de plaisir… tes mouvements deviennent rythmés et je suis le balancement comme un bateau bercé par la houle… je sens ton liquide délicieux au bout de ma langue… que c'est bon… tes gémissements plus soutenus m'encouragent à aller plus loin…. »


Mick77

Pour toi qui comprendra

Nous étions assis l'un l'autre proches de nous, loin de tout ; toi tu savais les mots à me dire et les gestes à faire pour apaiser mon cœur.

Quand tu me les as donnés, je t'ai regardé avec ta bouche rouge, tes yeux noirs de mes ténèbres dans la lumière de ce matin là, ta chevelure d'or où j'ai glissé mes doigts et dont j'ai filé la laine, avec tes joues dorées de poupée de porcelaine et les fines marques qui prolongent tes paupières bleues.

J'ai alors gravé ton image en moi, comme une cicatrice.

Je me suis dressé, statue immense qui t'a fait lever les yeux au ciel et prendre conscience de la place que j'occupais dans cet espace restreint.

Que pouvais-je faire d'autre à cet instant que de me baisser et te porter dans mes bras pour t'emmener là bas au loin.

Lovée dans mes bras, tu as posé tes ongles rouges sur la peau mate de mes biceps et pendant que j'avançais sur notre chemin, tu as laissé ta marque profonde me griffant au sang pour me signifier que ton besoin de liberté et ton désir de m'être soumise livraient bataille en toi. Qu'importe tes traces sur mon corps, elles me sont égratignures à coté de
la cicatrice du cœur.

Pour te rassurer, je dépose furtivement un baiser salé sur ta bouche, l'effet se fait sentir rapidement, ton corps se détend, tu fermes les yeux, tu me laisses d'emmener sur le chemin de notre destin.

Près de la rivière qui coule paisiblement, sous le saule qui abrite des regards, je t'ai déposée sur l'herbe tendre; surprise par la douceur de l'endroit et sa simple beauté, tu m'as souri, émue que tu étais d'être à cet endroit.

Ta bouche en forme de cœur a soufflé ce baiser que le vent de ton haleine m'a porté; Il est entré en moi et m'a enfin permis d'espérer.

L'eau de la rivière emporte les mots incompris, et les sentiments de violence qui nous ont sali, reste dans notre nudité de cœur et de corps à mêler les désirs de fusion pour n'être plus qu'un seul esprit qui se répand sur la vallée comme une brume légère qui recouvre les êtres et les choses.

Sous le rideau formé par les branches lascives du saule, les franges de la lumière du soleil forment sur tes jambes nues des arabesques se mêlant aux teintes irisées de ta peau.

Sur le bord de la rivière montrant le bout de sa coque, la barque en bois, à la peinture écaillée, heurte de temps en temps le rebord de la berge, comme une invite soutenue à une promenade.

Un regard échangé, un sourire, un accord tacite qui naît, et nous voilà enjambant le bastingage, troublant la paix du moment de nos rires de déséquilibre.

Un canard s'envole, furieux d'être dérangé.

Mollement allongé au fond de la barque, je te regarde pousser les rames, ton bandeau dans les cheveux, mis là comme pour me confirmer ta volonté de produire cet effort.

Malicieusement, je baisse le regard sur tes jambes, l'air de rien, pour contempler la lisère de ta jupe et bientôt sous la tension exercée par des mouvements gracieux, je suis récompensé par une image de toi ouverte et, j'imagine déjà un peu vite, offerte.

Tu t'en rends compte et j'ai droit à une éclaboussure d'eau, prise à la rivière avec ta main en conque. Je fais le surpris, m'indigne faussement et finis par prendre les rames, pour te laisser à ton tour admirer le délié des mouvements synchrones des muscles qui jouent sous ma peau.

L'effort a fait naître le long du bandeau et de tes tempes, de fines gouttes de sueur.

Tu souffles et te mets en position étendue, jambes sagement allongées et serrées. Mais est-ce le rythme des rames qui plongent et se relèvent, au bout d'un instant, tu m'accompagnes inconsciemment par un mouvement d'abord léger, puis ample, des genoux qui s'approchent puis s'écartent progressivement, comme s'il s'agissait de créer un léger courant d'air sous la jupe.

Je ne suis pas dupe, à la fraîcheur ressentie se joignent d'autres sollicitations qui, au fond, viennent comme un complément au plaisir ressenti d'être avec moi, en plein soleil, dans ce décor magnifique de la rivière qui coule dans son lit entre les deux rives soulignées par les arbres et les bosquets.


Le courant est plus fort au milieu de la rivière. Je peine un peu. Tu t'en rends compte, en posant ta main sur ma cuisse, tu me montres une anse plus paisible à l'abri des regards. Je vire notre barque et à longues bordées remontantes je tire l'embarcation vers le havre.

A l'arrivée, la tête penchée sur la poitrine, le souffle un peu court, la sueur commence à dégouliner, j'en profite pour ôter mon tee-shirt noir d'un geste viril en le faisant passer par-dessus mes épaules d'un seul geste qui dévoile mes aisselles. Tu n'en perds pas une miette.

L'eau est claire à cet endroit. Tu ôtes ton corsage sage, dégrafe le haut de ton maillot, qui va rejoindre mon vêtement au fond de la barque. La jupe suit le même chemin. Et c'est là que debout sur la barque, tu m'offres le plus beau spectacle qu'il m'est été donné de contempler.

L'alignement parfait de tes seins de pierre, tes épaules musclées mais menues portant ton cou gracile forment une figure de statue grecque. Le ventre plat, la lisière du slip blanc qui contient à peine ta toison drue, la proéminence de ta féminité, tout est appel à ma ferveur.

Pourtant je te laisse suivre ton idée, et tu plonges la tête la première dans l'onde, sans prévenir, naïade gracieuse dans son élément presque natif. J'égrène les secondes, dix déjà, à quinze l'inquiétude sourde un peu. Je me penche sur le coté où les eaux t'ont prise. Rien, et c'est ce moment que tu choisis pour me pousser en arrivant par derrière. Je tombe comme une masse dans l'eau, sous tes éclats de rire. Quelques brasses et nous voilà réunis, nous tenant les mains et agitant de concert nos jambes pour rester à flots.

L'idée est amusante, mais pendant ce temps, le courant malin éloigne la barque de plus en plus vite sans que nous puissions faire un geste.
Un peu contrarié nous gagnons la berge, toi à mi-nue, moi en pantalon trempé et torse nu.

Le soleil semble moins chaud, quelques frissons nous secouent.
Tu viens contre moi pour chercher une source de chaleur animale qui peine un peu à s'exhaler.

Je te prends dans mes bras comme pour te protéger. Puis nous nous frictionnons énergiquement avec la paume de nos mains. Mes doigts passent et repassent avec délectation sur les muscles de ton dos, sur le plat de ton ventre, sans oser toucher les trésors offerts à ma vue.

Un peu réchauffés, nous remontons la rive et oh surprise l'anse se révèle en fait être au sein d'un petit îlot éloigné des deux berges de la rivière. Nous voilà bien, loin de tout, empêchés que nous sommes de regagner les rives à la nage à cause du courant médian.

Une heure passe pas de signe de vie sur la rivière, tandis que maintenant le soleil décline vite.

J'ôte mon pantalon qui a un peu séché et je te l'offre, tu ne dis pas non. C'est moi qui suis en slip maintenant.

On fouinant un peu, je découvre une cabane en planches de bois, probablement construite par quelques chasseurs d'oiseaux. Nous y rentrons, un âtre sommaire est là, quelques bottes de paille jetées dans un coin. Un garde manger avec quelques provisions de bouche, deux bouteilles de vieux bordeaux. Et surprise divine, une réserve de bûches et de quoi allumer un feu.

Quelques instants plus tard, la vie reprend ces droits, nous nous réchauffons en face du foyer qui illumine la cabane de ses longues flammèches.

Nous sommes assis, près des flammes, les bouteilles de vin, ouvertes par mon couteau de poche qui ne quitte pas la poche de mon pantalon, feront notre repas, les provisions étant peu sures. Je souris de te voir boire au goulot le précieux breuvage, deux gouttes malignes glissent sur ton menton, l'une empruntant le sillon de ta poitrine, l'autre mutine glissant sur ton sein pour s'arrêter sur la pointe en hésitant sur le chemin à suivre.

De mon index courbé, je la recueille pour la porter à mes lèvres, tandis que la caresse provoque un réflexe qui fait vibrer ton ventre. Je poursuis en prélevant l'autre goutte logée sur ton nombril. Tes yeux brillent des flammèches qui s'y mirent. Tu poses ta main à plat sur ma poitrine, tandis que je sens monter en moi un désir qui tend mon unique pièce de vêtement.

« Sophie, il ne faut pas » seule phrase que je peux prononcer d'une voix grave. Elle sourit, me prend la main, tourne sa paume et la porte à son visage sur la joue puis sur sa bouche désirable.

« il faut bien …», me dit-elle en interrompant sa phrase. Puis « laisse moi faire ».

Elle se lève, puis ôte mon vêtement, retire son slip blanc, et debout face au feu, me tourne le dos, jambes écartées, en me laissant mirer les boucles de son sexe dans le halo de lumière chancelante.

Puis elle me dit « je te comprends, mais laisse-moi exprimer mon désir, ne me touche pas, regarde »…


rudyardkipling

Un bon weekend

j'ai passé le week end avec ma meilleure amie, pour ceux qui s'en souvienne et qui savent mon style de vie, c'est aussi une de mes fucking friends !!

donc en fin de soirée on a été se couché il devait être 23h.... et donc on a commencé a se caresser et s'embrasser, puis une caresse en entraînant une autre, j'ai commencé a la doigter pendant qu'elle me masturbait lentement, mes doigts rouler sur son clito et passaient sur ses lèvres en les ecartants et s'y enfonçant légèrement puis plus profondément, j'ai commencé a la doigté plus profondément, un doigt, puis deux,,....trois,.......quatre.......après quelques dizaine de minutes de lechouille de caresse du clito (avec mon autre main ca sert d'en avoir deux Laughing ) le fist est arrivé... le 1er que je lui fait (avant, elle y arrivait pas, elle jouissait au 3eme ou 4eme doigts)!!! elle a joui avec mon point en elle!
ensuite pour atténuer le fist (c'est que c'est imposant ces petites choses !!) je l'ai lécher (sans la doigté), après quelques caresses carlines sur son corps le temps qu'elle récupère! elle a joui une seconde fois (j'aime bien faire les chose jusqu'au bout !!) !
re-scéance de calins et elle commence a m'embrasser le la bouche, le torse, et descend... elle commence a me lechouiller le sexe, puis se concentre sur le gland, ...elle descend le long de la tige... et s'attaque au couilles ( pardon le mot est pas trés élégants !!), elle remonte, enfourne mon gland et le reste de mon sexe en bouche et commence a monter et descendre, tout en aspirant et en me masturbant....face a un regime pareil j'ai pas été long a venir, et quand elle a sentit mon sexe gonfler, elle l'a pris entre ses seins (105 D) pour que je puisse y jouir !!
ensuite on a voulu essayer l'anneau vibrant, malheureusement aprés l'avoir placé comme recommandé et etre rentré en elle, ca lui faisait pas grand chose et a moi pratiquement rien (ca m'a meme fait débander assez vite d'ailleur) du coup, on l'a enlever et je m'en suis servis en l'entourant autour de mes doigts et en la faisant vibrer sur ses levres et son clito en la caressant, ce qui lui amené une 3eme jouissance...... ce fut ensuite son tour de finir l'anneau (ca ne dure que 20 minutes !!) sur moi en me masturbant et me le faisant glisser sur mon gland et mon frein ... ce qui m'a amené une jouissance assez spéciale !!
aprés une re-re-scéance de calin et de bisous j'enfile un second préservatif (le 1er a été utilisé et jeté car l'anneau m'avait fait debander vous vous rappelez?) et je la pénétré donc......si je me souvient bien en levrette et en andro maque avant de revenir en levrette ou nous avons jouie.... il se faisait tard mais paradoxalement nous n'avions pas trop envie de dormir, nous avons donc remis le couvert aprés une petite pause dans la salle de bain histoire de rafraîchir et de se nettoyer un peu, j'ai commencé a la prendre en missionnaire quand elle s'est appuyé sur le rebord de la baignoire, et on a finit sur le lit en levrette aprés etre passé par l'andro maque et le cheval inversé !
pour finir un petit calin l'un contre l'autre avant de se decider a s'endormir..... il était 4h30 du mat : résultat une soirée assez sexe de 5h30 environ, 3 capote usée, un anneau vibrant, pas mal de salive Laughing, beaucoup de sueur.... et une chambre qui sentait le sexe !!!!..................et moi complètement vidé et crevé j'ai passé la journée de dimanche au radar !!!!


enfin ce fut une bien belle nuit coquine et ....hummmm
j'espère que votre week-end fut bon!!


sharpshooter55

Délire de nath

Tu serais architecte jusque là rien de faux, et tu rechercherais une assistante …
J'aurais saisi l'annonce et me présenterais.
J'aurais soigné ma présentation, j'ai besoin de ce job, petit tailleur jupe noire et escarpins bien entendu …

Le rendez vous est fixé à 19h étant le boss, tu ne veux pas prendre sur ton temps de travail pour me recevoir, tu le feras une fois tes employés partis.
J'arrive à l'heure précise je suis reçue par ta secrétaire actuelle, elle me regarde d'un mauvais œil, je lui souris sure de moi.
Tu as un petit contre temps j'en profite pour repasser rapidement aux toilettes histoire de vérifier une dernière fois ma mise, que mon rouge à lèvres ne dépasse pas, que mes cheveux soient disciplinés, que mon décolleté soit suggestif mais pas agressif.
Il me semble être au top au moins déjà physiquement, reste à te convaincre professionnellement.
Le bureau se vide petit à petit je t'entends au téléphone parler assez vertement à un client cela ne me rassure pas franchement …

Bientôt il ne reste plus que toi dans ton bureau et moi dans la salle d'attente...
Je croise et décroise mes jambes t'attendant, j'écoute ta voix à travers la porte entrouverte, elle est chaude, masculine et ferme.
Comment peux-tu être physiquement rapport à cette voix si sensuelle ?

Je me saisis d'une revue trainant sur la table basse et c'est à cet instant que tu ouvres la porte et me surprends j'en lâche le livre, sans même t'avoir encore vu je me baisse pour le ramasser et en me relevant croise ton regard, je reste foudroyée, toi tu souris et plonge ton regard dans l'échancrure de mon blazer, je le réajuste instinctivement je sens ton amusement…
Je fonds littéralement mais n'en laisse rien paraître. Il me semble avoir vu du désir dans ton regard, mais cela fut si furtif…
Tu m'introduis dans ton bureau, me propose un siège face à toi, je m'assois délicatement prenant soin de croiser mes jambes, et pour te tester, je laisse juste apparaître la naissance de mes bas.
L'effet est concluant je sens ton regard captivé, je rapproche le siège de ton bureau pour te faire face de plus près, sort mes dossiers d'expériences professionnelles, sans que je n'y prenne garde plus je me penche, plus l'échancrure de mon blazer s'entrebâille et te laisse découvrir ma poitrine nue et dorée.
Je te remets mes dossiers et nos mains se frôlent nous déclenchant un frisson réciproque ;
Une ambiance électrique s'instaure, chaque regard, chaque geste est lourd de signification…
Je me lève pour t'expliquer, un détail et me penche sur le bureau pour cela, je sens ton regard plongé complètement dans mon décolleté. Je n'arrive pas à détacher mon regard de tes lèvres, elles ont l'air si douces, j'essaie de me reprendre pour rester sérieuse, mais je sens un sourire naitre, tu ressens que je suis troublée.
Tu me demandes une précision et cela m'oblige à venir te rejoindre vers ton fauteuil, je me pause sur le coté m'asseyant sur le rebord de ton siège, tu peux nettement apercevoir mon bas, je fais exprès de te frôler, histoire de voir si je rêve ou si toi aussi tu craques…
Je me relève et toi tu fais pivoter ton fauteuil et tu te retrouves face à moi.
Je n'ai pas le temps de réagir que tu me fais tomber sur tes genoux je me retrouve face à toi à califourchon sur tes jambes, ma jupe est relevée au maximum.
Tu ouvres délicatement ma veste de tailleur sans lâcher mon regard, je suis en ébullition l'instant est torride
Mes seins sont libérés tu les prends dans tes mains, titille les bouts de tes doigts et les prends à pleine main afin de les rapprocher de ta bouche, je me cambre en arrière pour te les présenter au maximum, ma cambrure à pour effet de rapprocher mon sexe du tien, je ressens ton désir naissant, tes mains courent sur mes cuisses remontant jusqu'à mes fesses.
Tu finis de me débarrasser de mon blazer je me retrouve seins nus offerte à ta bouche.
Tu me demandes de m'asseoir face à toi sur ton bureau, je te vois te lever et tes lèvres se rapprocher dangereusement j'en ai tellement envie que j'en tremble entièrement tu t'imbriques au milieu de mes cuisses, nos sexes sont proches l'un de l'autre et nos langues se mélangent harmonieusement.
Cela déclenche un cratère de feu dans tout mon être, tu embrasses divinement bien.
Tes mains s'engouffrent sous ma jupe elles sont chaudes et douces.
Ta bouche descend sur mes seins et je te sens te mettre à genoux devant moi m'obligeant à écarter plus les jambes d'un geste ferme.
Tu décales mon string et m'explore avec tes doigts, tu me regarde pour voir l'effet que tu produis mais je suis dans un autre monde …
Ta main est bientôt rejointe par ta bouche qui à son tour me fouille, me lèche, me mordille, ensemble ils forment un balai de douces sensations, j'ai envie de jouir …
Tu le sens et calme tes ardeurs, tu ne veux pas que je jouisse comme cela, tu m'assois, sur ton fauteuil et te présente debout devant moi, avec une jolie bosse sur ton pantalon ;
Je te regarde comme si j'avais l'air te de demander ce que tu attends de moi, cela te fais sourire, tu dégages ton sexe tout seul de sa prison, et je le vois surgir devant moi, fier et déjà raide de désir.
Tu le promènes sur mon visage comme une douce caresse, je ferme les yeux et apprécie.
Tu le présentes devant ma bouche caressant mes lèvres délicatement, ma langue sort automatiquement, je te regarde essayant de comprendre comment tu me veux, coquine, mutine ou douce…
Coquine vu ton regard, je me saisis de ton sexe bien raide le prend à pleine main le sert fort et le cerne de ma langue, je le découvre entièrement comme si je mangeais une glace
Ma langue lèche tes boules douces et rasées, je te sens réagir sous mes coups de langues et cela m'incite à être plus précise, tu me prends la tête pour me diriger là ou tu le désire, j'aime que tu prennes les choses en main, et que tu me donnes le rythme qui te fera plaisir.
Je te lance quelques regards coquins et tombe inévitablement sur le tien qui ne loupe rien de la scène.
Ton sexe est de plus en plus dur …
Tu es à la limite de jouir, tu me prends par les bras pour me remonter à ta hauteur m'embrasse à pleine bouche, me retourne et me fais me plier sur ton bureau, tu me pénètres d'un coup sec j'en pousse des gémissements de bonheur, tu n'es plus du tout doux tu as envie de jouir et tu sais que moi aussi, tu me donnes des coups de reins rapides , secs et de plus en plus brutaux, me déclenchant des petits cris de plaisir, je ne tarde pas à jouir sous les assauts violents que tu m'impose et tu me suis de près je t'entends te libérer bestialement.
Tu me retournes pour me relever face à toi et m'embrasser tendrement …
Nous restons un moment enlacés repus fatigués et heureux…
Même si je n'obtiens pas le poste tant pis j'ai vécu un moment inoubliable.

Pour toi mon Sam que j'aime


Littlemiss69

Kittty story

Agenouillée devant toi tu as ton pantalon sur les chevilles ton boxer fait apparaitre les formes de ton sexe
je passe ma main dessus je le caresse je sens ta ... gonfler sous mes doigts elle tire sur le tissu de ton boxer...
je la sors elle est bien droite et bien dure je la prend bien fermement dans ma main je te masturbe en te regardant dans les yeux en passant ma langue sur mes lèvres...
je me rapprocherai de tes testicules sortirai ma langue et te lécherai les couilles je les prendrai dans ma bouche je les lécherai pendant 2...3minutes...5 minutes...jusqu'à ce qu'un filet de sperme transparent tombe sur le dos de ma main qui te masturbe lentement...
et là, je mettrai ton gland dans ma bouche et je te sucerai comme une petite ... des film X
je te sucerai et passerai en meme temps ma main gauche au fond de ma culotte je me masturberai avec ta queue dans ma bouche mes doigts entreront et sortiront...
tu te lèveras tu prendras ma tete entre tes deux mains et tu me b..... la bouche comme si c'était mon vagin
tu iras vite tu te sentiras venir tu me le diras : je te pousserai sur ta chaise et je me jetterai sur ta ... qui va bientot lacher son jus
je mettrai ton gland dans ma bouche et je te masturberai la base de la ... jusqu'à ce que je sente les 7 ou 8 jets de ton sperme chaud envahir ma bouche mes lèvres mon visage....JADOREEE
J'aurai avalé ce que j'avais eu dans la bouche et j'aurai récupéré ce que j'avais sur mon visage avec mon doigt et je l'aurai sucé...
J'ADOOOORE!!!


kittykat68

Ma rencontre

Je suis arrivée à sainte maxime depuis deux, trois jours seulement …
Nous avons pu définir un rendez vous chez moi pour le début de soirée.
J'ai passé plus de deux heures à me préparer pour toi, je veux que ton premier regard me rassure, je veux être au top pour toi, que tu ne regrette rien …
La rencontre est fulgurante, tu es comme je le désirais …
Nous sortons vite de l'appart pour nous retrouver tout les deux, nous décidons d'aller au resto, rien ne presse entre nous, nous avons faim de nous découvrir, nous manger des yeux, tout se lit pour l'instant dans l'intensité de nos regards, pour ma part, mon regard n'arrive pas à se détacher de tes lèvres, elles m'ont déjà donné tellement de plaisir virtuellement, et de les voir en vrai confirme mes envies.
De ton coté je sens ton regard plonger sur mes seins, discrètement soit, mais ton regard est irrémédiablement attiré. La façon dont tu les admire est pareille à une douce caresse, je peux deviner toutes les idées qui traversent ton esprit …
Nous parlons de choses et d'autres de cette incroyable et fulgurante histoire d'amour qui nous arrive, nos yeux sont accrochés l'un à l'autre, tout dans mes gestes et dans les tiens sont sensualité, je ne peux me retenir de passer ma langue sur mes lèvres, comme si tu venais de me donner un baiser, je ne peux m'empêcher de frôler mes seins pour permettre à ce regard que tu leurs lance de devenir une caresse.
Je nous sens totalement envoutés l'un par l'autre, nos mains se frôlent sur la table, nous déclenchant un délicieux frisson.
Nous sommes seuls au monde, plus rien n'existe à part nous.
Nos mains s'accrochent ensemble et ne se lâche plus, notre gène se dissipe enfin quelque peu nous osons nous toucher, tu me dis des choses tendres et je suis accrochée à ton regard de braise et au mouvement de tes lèvres, elles paraissent douces, comme les mains qui retiennent les miennes.
Tu me proposes d'aller nous promener, nous avons juste bu un verre du coup, nous avons une autre faim que celle-ci …
Tu me prends par la taille pour me guider vers la sortie, le restaurant est en bord de plage et à cette heure ci elle est vide, tu m'entraines vers la mer, j'enlève mes chaussures, je me sens toute petite d'un coup.
Ta main sur mes hanches est un vrai supplice j'en ressens la chaleur et mon cœur bat fort.
La mienne enserre les tiennes aussi avec une seule envie passer dessous ce maudit tissus, te sentir, te toucher, te caresser, mais rien ne presse, rien que l'idée me suffit pour l'instant.
Je sens ta main monter, bouger sur mes hanches tu suis les mouvements de mes pas. Tu recherches aussi le moindre contact avec ma peau et chaque fois que tu l'a frôle j'ai l'impression d'avoir des millions d'aiguilles qui s'enfoncent en moi,
Soudainement et avec une douceur infime tu t'arrêtes et te met face à moi, je tremble de désir d'appréhension, ma gorge est serrée je sais ce qui va se passer, mais entre le désir et le passage à l'acte il y a un monde. Tu prends mon visage entre tes mains celles-ci se posent sur mon cou et tu te rapproche de mes lèvres, tu les caresses juste des tiennes, légèrement, j'en veux plus je tente de me rapprocher à mon tour cette torture est divine mais je ne tiens plus, je veux gouter à ta langue, je veux la mélanger à la tienne sans fin …
Tu comprends mon désir et te fraie un passage, c'est le point de non retour cette chaleur partagée enflamme nos corps, nos bouches se reconnaissent, elles savent ce qu'elles aiment nous en avions déjà tellement parlé virtuellement.
Nos mains s'enhardissent, je ressens les tiennes sur ma taille, je les sens remonter dans mon dos et descendre sur mes fesses pour me rapprocher de toi, et me faire ressentir, ce que déjà juste un baiser provoque…
Je suis sur un petit nuage, le monde peut s'arrêter de tourner, peu m'importe je suis à l'abri dans tes bras.
Mes mains s'aventure sur ton corps aussi je ressens les muscles de ton torse tendus à l'extrême, je caresse délicieusement tes adorables fesses, et j'ondule sous toi pour te rapprocher encore plus de mon corps et aviver cette tension que je ressens sur mon ventre, nous gémissons à chaque mouvement de nos hanches, et notre baiser devient plus que fougueux,
Délicatement tu m'allonges sur le sable et entame le début de la danse de l'amour…
Tout en continuant de m'embrasser tu dégrafes mon chemisier, ta main me brule tant j'ai besoin de tes caresses, mes seins sont enfin libérés et prêt à subir tout tes désirs, ta bouche descends le long de mon cou pour rejoindre ta main qui a déjà entamé des caresses langoureuses, ta bouche s'empare d'un de mes tétons, ta langue chaude le titille avec tant de douceur et au moment ou je m'y attends le moins le mordille, déclenchant une décharge dans mes reins.
Pour ne pas que tu me lâches tellement c'est bon je me cambre vers ta bouche mes mains te collent à moi, tu ne seras jamais assez près.
Ton désir est évident contre moi, je te libère également de ta chemise, le contact de nos deux torses déclenchent en nous un feu d'artifice avoir tant rêvé de cet instant et le partager enfin, nos corps sont bouillants, nous avons besoin de savourer cet instant nos baisers reprennent et nos corps bougent ensemble pour ne jamais être séparés , mes seins pressés contre ton corps se durcissent de plaisir, tes mains s'aventure sur mes fesses et les miennes saisissent les tiennes aussi comme si je voulais t'imbriquer en moi.
Tu cherches à nous débarrasser de toutes barrières vestimentaires je t'aide, nous avons besoin d'être libre de nos mouvements, et nos corps réclament ce rapprochement, c'est maintenant une évidence, ils se sont reconnus…
Une douce torpeur nous envahis, nous nous frôlons, nous nous sentons, nous nous découvrons, le moindre de nos sens est en alerte.
Nous savons déjà qu'il va être dur pour nous de tenir la promesse faite, de ne se donner que du plaisir sans pénétration, la première fois que nous nous rencontrions. Je sais que toi comme moi tenons à préserver ce délicieux amour de la rapidité, le désir et les envies non assouvies l'alimenteront, nous avons encore tant de choses à vivre ensemble.
Nos mains s'aventure dans les moindres recoins, s'arrête, sur un sein, sur une cuisse, sur une fesse, tente de se frayer des passages.
Tu te place au dessus de moi me coinçant les mains au dessus de la tête afin que je sois à ta merci, tu commences ta lente descente sensuelle, ta bouche trace un sillon de feu sur mes seins, mon ventre, pour arriver à mon mont de vénus, tu me regardes pour voir ma réaction, je ne te vois pas je savoure cette descente les yeux fermés et met tout mes sens en éveil pour ne louper aucune sensation.
Tu m'imposes délicatement mais fermement d'écarter les jambes, je m'exécute, je sens ton souffle se rapprocher de mon intimité, je sens tes doigts rejoindre ta bouche afin d'écarter délicatement mes lèvres et d'insérer ta langue, ce contact me fais me cambrer, cette langue, ta langue est curieuse, et fouille de partout,
Plus mon corps se déchaine plus elle s'active, et comme cela n'est encore pas assez pour toi tes doigts la rejoigne, pendant que celle-ci s'occupe de gonfler de plaisir mon clitoris tes doigts me pénètrent et m'impose un rythme saccadé, l'association de tes doigts et de ta langue me mettent au supplice et je ne tarde pas à jouir longuement tu continues tes douces caresses me laissant le temps de récupérer mes esprits , je sens ton sexe contre ma cuisse et cela me réveille , à moi de te faire subir mes désirs.
Je te demande de te mettre debout, je suis agenouillée devant toi, avec ton sexe raide et imposant devant mon nez, ce que nous venons de partager l'a déjà rendu très en forme, il ne me reste pas grand-chose à faire pour le libérer …

Mes mains se posent le long de tes cuisses pendant que ma bouche embrasse juste le dessus de ton gland donnant de tous petits coups de langues, cela à pour effet de le faire bouger tout seul, ma bouche prend de l'assurance et avance jusqu'au contour de ton gland , ma langue suit et bouge de la même façon que quand je t'embrasse elle tourne autour et s'arrête juste sur le haut pour repartir de plus belle. Tu essaie de t'enfoncer plus loin en moi mais je veux que toi aussi tu subisses l'attente que tu m'as fait subir, tu te saisis de ma tête entre tes deux mains pour m'imposer le rythme que tu veux, ma main se promène sous ton sexe et te caresse, la cadence s'accélère, je sens ton sexe se tendre de plus en plus, je sais que ta jouissance est imminente , je me saisis de ton sexe au moment crucial et te laisse m'arroser les seins de ta chaude semence , le râle que tu pousses est une douce mélodie à mes oreilles.
Heureux et amoureux nous passons encore des heures à nous caresser, nous avons réussi, notre première fois fut merveilleuse intense sans avoir tout consommé …


Littlemiss69

Une soirée de rêve

Imagines d'abord notre rencontre dans un petit Resto Français donnant sur la Rivière des Prairies… Souper léger, longue conversation intime, puis cognac savoureux à se dévorer des yeux… puis à s'embrasser tendrement, en se caressant le visage et les mains… Mes yeux plongeant dans le décolleté ravageur de ta robe, entrevoyant ton soutien-gorge en dentelles, fascinés par la peau satinée de tes seins superbes et épanouis… mes prunelles azur remontant ensuite sur ta gorge offerte, embrassant ton cou vibrant de plaisir, nos lèvres se rencontrant dans un baiser d'une tendresse et d'une douceur longtemps retenue, nos langues se mélangeant dans un baiser sensuel…

Caresser nos sexes sous la table, à travers les vêtements! Mon pénis tendu à tout rompre… Un peu de liquide perlant de mon gland et humectant mon boxer moulant noir… Ta vulve liquéfiée, ton clitoris en ébullition sous les caresses de mes doigts a travers ta robe et ta culotte complètement inondée…

Nous nous dirigeons sans tarder vers le petit hôtel que nous aurons réservés tout près… Après un passage a la réception, Nous nous précipitons vers notre chambre… Mes mains parcourent mon dos, tes jambes, tes fesses pendant que tu tentes d'ouvrir la porte! Fou rire..! : )

Enfin seuls… L'extase, la fusion est proche… tu me retire mes vêtements un par un… Mon pantalon tombe, mon phallus émerge tout seul de mon boxer, trop tendu pour y être contenu… tu ne peux te retenir de l'embrasser, de le glisser dans ta bouche… et de me pousser tendrement sur le lit… Ou tu me déshabille avec délicatesse, mon sexe prisonnier de ma main qui le masturbe doucement….

C'est ensuite à mon tour de te parcourir, je te reléve ta robe afin de voir tes superbes jambes... je fais glisser tes bas le long de tes jambes galbées... Je dégrafe ta robe qui finit par tomber sur tes chevilles ... Te voilà devant moi, en string dentelle et soutien-gorge assortie, la lumière de la lampe projetant ta silhouette contre le mur... Mes caresses commence a parcourir ton corp en emportant dans leur elan ton string...Je m'occupe ensuite de ton soutien-gorges pendant que je te couvre le corp, les hanches et le minou de baisers et de lechouilles tendres et chaudes...

Une fois nus tous les deux, nous nous caressons avec fébrilité, chaque centimètre de notre peau…

Ma bouche embrasse et lèche ton cou, pour descendre vers tes seins dont je suces avec douceur les superbes mamelons roses et durs, dressées, tendues a tout rompre. Mes mains caressent tes seins et le creux qui les relient avec une tendresse extrême… Je les caresses aussi avec mes joues, mes cheveux… Tu gémis de plaisir..

J'effleures ensuite de mes lèvres ton ventre, tendu par l'attente de la fusion de nos sexes… Ma langue descend pour se frayer un chemin a travers tes monts de vénus… et enfin…

Je re-découvres avec extase ta vulve complètement mouillée… tes lèvres que mes doigts écartent pour mieux embrasser ton clitoris complètement électrisé… L'entrée de ton vagin que ma langue et mes doigts pénètrent légèrement… Tu cries d'excitation..! Tu réclames que je te fasse jouir… Tu me demande de te présenter mon pénis pour m'accorder les mêmes faveurs. Nous offrons l'un a l'autre notre sexe prêt à jouir, en transe…

J'entreprends alors de sucer avec ferveur ton clitoris, tout en caressant tes cuisses, ton ventre, tes fesses douces comme la pêche… Et je dois abandonner brièvement quand j'engloutis mon pénis jusqu'à la base, caressant mes deux bijoux qui l'accompagnent… je gémis d'extase et de bonheur… je me retiens, te ralentis pour ne pas me provoquer d'orgasme prématuré

Je reprends ma tâche amoureuse jusqu'à ce que tu cries de jouissance, que la cyprine, ce jus d'amour, envahisse ma bouche, que je bois avec extase… que tes cuisses se resserrent sur mon visage, ton clitoris n'en pouvant plus…

Tu te retournes ensuite face à moi… Nous nous embrassons à nouveau, nous nous caressons… ton vagin est en feu et tu réclame que je te pénètres pour éteindre cet incendie qui te consume…
Tu t'étends sur le ventre, tes cuisses largement écartées et tu gémis : " pénètre moi, mon cœur, mon mâle… Va au fond, caresses de ton pénis les moindres recoins de ma fente… oui! Oui! Plus loin! "

Je te pénètre d'abord d'un rythme lent, car tu es sur le fil de la jouissance… Tout en te caressant le dos, le cou avec mes mains… j'attrapes l'huile que tu as apporté et en asperge ton dos… Je te masses avec passion, au même rythme que mes pénétrations… Tu râle de bonheur…

Tes gémissement s'accélèrent et s'amplifient… J'augmentes le rythme pour les accompagner… Tout à coup, des cris d'orgasme, je sens ta vulve se liquéfier dans un jet de cyprine… tu gémis de bonheur… " jouis mon ange, viens… Je vais venir avec toi… oh! Oooooooh! Mes testicules se contractent au rythme de leurs éjaculations… Le sperme jailli le long de l'urètre, transperce le gland pour jaillir et me donner l'extase en même temps que toi…

Je m'étends sur toi, inondé de jouissance et d'extase… Moment si longtemps attendu… instant de tendresse et de communion complète de nos corps et de nos êtres… Tu te retournes pour m'embrasser, nous nous murmurons des mots doux… " C'est ma meilleure baise depuis longtemps… Je vais encore te faire jouir ce soir… " " Oui mon ange… encore et encore… Mon sexe est ton sanctuaire… Chaque moment libre de mes pensées y sera tourné… Je te désire, tu me fais perdre la tête… Tu es beau… Mon corps t'appartient… "

Nouveaux baisers, nouvelles caresse le long de tes hanches, de tes bras, de tes coudes, de tes mains que j'embrasse avec ferveur et romantisme… A nouveau, sous les caresses de mes mains sur ta poitrine, ton ventre, ton cou, tes hanches, mon pénis commence à se durcir… Mon autre main libre achève de le dresser…

Cette fois, mon phallus sera plus endurant… Il te procurera plusieurs orgasmes avant de jouir lui-même… Tu t'étends sur le dos en élevant les jambes qui prennent appuis sur mes épaules… Mon sexe pénètres ton minou et tu cries de surprise et de plaisir en sentant la profondeur de ma pénétration, qui touche avec vigueur le fond de ton vagin… Et l'amour reprend, rythmé par une musique romantique… Mes mains prennent appuis sur tes épaules, je te caresses la poitrine, les cheveux, le cou… Nos yeux sont rivés les uns aux autres, nos visages reflètent un état d'abandon total…

Tout a coup, tes yeux chavirent… tes jambes faiblissent et glissent le long de mes bras… tu gémis d'extase et de jouissance… je sens l'élixir de ton orgasme couler entre mes cuisses… Je me penche vers toi pour t'embrasser et te murmurer " Oui ma toute belle, oui… Viens… jouis encore et encore… "

" Oh oui… encore, gémis-tu…Baises moi… " tu te retournes alors et élève ton bassin… Tu te retrouve a genoux… Je prend appuis sur le mur de mes mains… Je te pénètres à nouveau sous cet angle totalement excitant… Je te pénètre à fond et te caresses le dos, le ventre, l'intérieur des cuisses, tes seins… je presses et excite tes mamelons… Ma main droite, la plus habile… glisse vers ton clitoris pour te masturber en même temps que mon phallus te pénètre langoureusement… Tu gémis d'extase… " Ha! Haaaaa! C'est trop bon! " Je te murmure " Tout mon corps est tendu vers ta jouissance, mon ange… "

Puis à nouveau tu viens… l'orgasme fait glisser tes mains du mur… ta tête tombe sur l'oreiller… je continues a te baiser… Second orgasme…. Le lit est complètement inondé, nous y pataugeons avec extase..

Soudain, ma tête explose..! Cette éjaculation m'a pris par surprise! " Tu gémis : oui mon mâle, vient avec moi… "

Nous prenons une pause après une douche brûlante, étroitement enlacés avec nos coupes de champagne bien fraîches avant de continuer cette soirée inoubliable…


Sharp

Une bonne collègue

cette jeune collègue, était vraiment sexy et bandante, elle avait un regard de chienne attendant d'être saillie par un male en rut.
Agée de 25 ans, mariée, elle était très bien roulée, seul son visage sans être laid, avait un rictus qui l'empêchait d'être beau.
Demeurant pres de chez moi, nous pratiquions le co voiturage avec un collègue qui passait nous prendre devant chez moi. J'occupais le siège passager et Lise appelons la comme cela, montait derrière moi.
Plusieurs fois au cours du trajet, j'avais laissé ma main trainer le long de sa botte remontant jusqu'au genoux sans jamais recevoir de rebuffade.
Si nous partions au travail en voiture, en revanche nous revenions en RER, n'ayant pas les mêmes horaires.
Ce vendredi la, je montais l'escalier menant a la sortie, lorsque je vis Lise qui se dirigeait également vers la porte. Je lui demandais si elle voulait rentrer avec moi, elle me dit oui avec enthousiasme, ce qui me conforta dans l'idée que j'avais un ticket avec elle.
C'était l'hiver, il était 16 heures et nous avions quitté le boulot plus tot tous les deux sans nous concerter.
Arrivés a Vincennes, je lui demandais si elle voulait prendre un pot, ce qu'elle accepta.
Nous nous rendîmes dans le premier café venu et nous primes une table dans une salle un peu a l'écart. Notre consommation commandée, je la pris par les épaules et l'embrassais goulûment sur la bouche, elle me rendit un patin baveux a tel point que ma queue commença a gonfler dans mon jeans.
Comme d'habitude, elle portait une jupe plutôt courte, sous laquelle je passais une main, rencontrant des bas tenus par un porte-jarretelles, et un string en dentelles tres fines.
Elle écarta largement les cuisses pour me permettre de la doigter tout à mon aise, ce qui me permis de voir qu'elle avait la chatte entièrement rasée et trempée.
De son coté Lise me massait la bite à travers mon jeans dans lequel j'étais de plus en plus à l'étroit.
l'escalier des toilettes au sous-sol se trouvait juste ne face de notre table, je demandais a Lise si elle n'avait pas envie de pisser, car moi j'avais envie.
Nous descendîmes, puis nous avons ferme la porte de l'unique WC à la turque du café.
Je m'agenouillais et remontant sa jupe je lui fouillais le sexe de ma langue et de mes doigts, l'enculant même avec le pouce sans aucune résistance tant elle mouillait.
Elle eut un 1er orgasme et se mit a son tour a genoux pour me sucer la bite avec gourmandise, portant mon érection a son summum.
Presses par le temps je la fis pencher en avant au dessus de la cuvette et la pénétrais jusqu'aux couilles dans cette ambiance trouble aux senteurs d'urine et d'ammoniac très forte.
Je sortais et entrais dans son con baveux a la limite d'échapper, et a un moment elle me dit, "non, non pas mon petit trou" ce que j'interprétais comme une invite.
Je déplaçais donc mon gland sur son anus et elle donna un grand coup de rein pour que je l'encule a fond, elle parti alors dans un délire de jouissance si fort qu'elle pissa tout debout avec ma bite enfoncée dans ses intestins.
Lorsqu'elle eut fini de jouir je partais a mon tour lui graissant l'anus de longs jets glaireux.
Lise qui savait se tenir et avait été bien éduquée, me nettoya la queue de fond en comble avant que nous remontions finir nos bières.
Par la suite je changeais de boulot et perdis Lise de vue. Mais je garde un souvenir bruant de ce vendredi soir.
Je n'avais même pas eu l'impression de tromper Jeanne, car cet épisode était purement sexuel à la limite bestial. Fruit de la rencontre de deux individus en mal d'amours fortes


mylene bruno

Sans arrière pensé

bonjour à tous,

ça c'est passé chez un couple d'ami , depuis plusieur semaine que l'on se fréquentais, nous avions décider de faire un repas chez eux.
nous etions au courant de leurs ébats ,plus que tumultueux et dans le besoin de s'hexiber ou d'échanger, qui ne nous choquer pas (chacun et libre de ses actes) donc aprés un repas plus que bien arrosé les langues se libére et on commence à parler de leur experience sexsuelle libéralle.
a ma grande surprise c'est mon epouse qui ouvrie les hostilitées,se qui à du m'exiter d'avantage.
nous voila à moitié nue ,en train de comparer les seins de nos femmes, de les toucher,sans aucunne arriere pensée.
puis les choses se sont corsées : concour de féllation ,face à face avec nos propre épouse.
ensuite bonne partie de jambe en l'air sous les yeux de chaque couple.

j'en garde un trés bon souvenir, mon épouse aussi.c'etait la premiere fois pour nous de s'hexiber comme ça,je pense que l'alcool y etait pour beaucoup, malgrés tout j'éspere qu'un jour cela nous arrivera encore,car nos amis en déménagé et la vie continue son chemin

Foxx

Dann: du net au réel

    J'ai connu ce mec sur le net, un légionnaire reconverti en gendarme mobile, on parlait et délirait sur le net à chaque retour de ses missions, on se faisait des plans cul pour les appeler ainsi puisqu'on faisait l'amour via ICQ.
C'était toujours absolument délicieux, il avait une imagination débordante, qui m'existait à mort, et quand mon mari rentrait je lui racontais et cela nous existait mutuellement, cela m'arrangeait car je pouvais me calmer !!!
Cela a duré deux ans et puis un jour il a décidé que l'on se téléphone, juste pour entendre nos voix ...
J'étais pas super motivée le virtuel me convenait, pourquoi aller plus loin…
Je ne l'ai jamais regretté…
Je suis d'abord tombée amoureuse de sa voix …
Nous avons commencé à faire l'amour par téléphone c'était une découverte pour moi, j'étais pas trop inspirée, je ne voyais pas comment on pouvait se faire plaisir par tel, mais sa voix était tellement envoûtante et sa respiration si explicite que j'en tremblais à chaque fois qu'il me faisait l'amour au tel. Il savait me dire quoi faire pour me rendre folle, et surtout l'entendre jouir aussi intensément au téléphone me, rendait folle d'excitation et de désir pour lui …
Et là ce fut le déclenchement du point de non retour, tout était prétexte à s'appeler à s'échanger des SMS. Je disais tout à mon mari quand il rentrait le soir, je ne voulais rien lui cacher, et puis j'avais besoin de partager toute cette histoire avec lui car je sentais qu'au delà d'un plan sexe j'avais des sentiments pour ce gendarme !!!
On passait donc des nuits entières avec mon homme à imaginer tout plein de plans fous, à définir ce qui m'était permis ou non, cela dopait notre couple à fond ce partage était dément, j'échangeais autant de SMS avec lui qu'avec le gendarme, et j'étais amoureuse comme une gamine de deux hommes.
Le gendarme pour le nommer (Dom) , était lui aussi au courant que je partageais tout avec mon mari , cela ne le dérangeait pas , en même temps il avait le beau rôle,les choses étaient clairement définis , c'était certes une histoire d'amour , mais pas une histoire qui casserait mon mariage.
Et puis nous avons décidé de nous voir tout les deux dans un premier temps histoire d'apprendre à se connaître autrement que virtuellement.
Ce fut un coup de foudre mutuel, moi qui angoissais parce que j'avais 10 ans de plus que lui je fus vite rassurée, un beau gosse d'un mètre 80 tout en muscle, des yeux bleus à se noyer dedans et un sourire à mourir. Ce fut une véritable décharge électrique, nous avons passé plus de 3 heures à nous embrasser, nous toucher, il me faisait voler dans les airs tellement il était musclé j'avais l'impression d'être une plume dans ses bras !!!
Il avait décidé que nous ne ferions pas l'amour la première fois, pour bien définir que nous trois cela devait durer.
Le soir je suis rentrée j'étais sur un petit nuage, mon mari était plus inquiet, normal, je décidais avec lui que maintenant se serait dom et moi mais avec toujours mon époux dans la pièce ou dans la maison.
Ce fut donc le deuxième rendez vous, bien plus axé celui-ci.
C'était chez nous, les garçons se voyaient pour la première fois, un peu stressés tous quand même !!!
Mais cela s'est super bien passé les garçons sont devenus de suite amis et se sont trouvés plein de point commun une incroyable complicité est né entre eux, nous avons mangés ensemble et mon mari est parti dans son bureau , Dom et moi sommes allés sur le canapé , pour apprendre à nous connaître mieux , tout en sachant que mon homme (Alain) nous matait, Dom faisait exprès de relevé ma jupe afin qu'Alain profite pleinement du spectacle , il laissait juste apparaître la naissance de mes bas ,il faisait descendre mon string tout doucement, me léchait les seins,me touchait le sexe en faisant bien attention qu'Alain aussi puisse en profiter mais tout en faisant comme si il ne savait pas qu'Alain regardait.( j'ai su plus tard qu'ils échangeaient mutuellement des clins d'œil), comme si Dom guettait son assentiment !!!

Après diverses jeux de taquineries je me suis accroupie devant lui, et me suis emparée de son sexe absolument raide et dur, le lécher, le mordiller tout en sachant que je lui donnais du plaisir, mais savoir que j'excitais aussi mon mari me motivais encore plus, je faisais durer le plaisir en prenant mon temps, les garçons étaient comme fous, je voyais mon époux dans la glace se toucher, et Dom à la limite de ne plus pouvoir tenir…Dom a joui comme jamais en même temps j'entendais mon époux dans la pièce à coté …
Ce fut l'apothéose total, j'ai adoré, c'était un pied sans nom, même si ce jour encore était sans pénétration, sincèrement il n'y en avait pas besoin …


littlemiss69

Marie-line ma collègue

Marie-Line est une de mes collégues, et je l'avoue j'ai bien envie de passer un 5 à 7 avec la belle brune. Elle a 28 ans, normalement ce n'est pas genre de femme, brune pas une grosse poitrine, je préfére les femmes avec des formes, des gros seins oui j'adore !
Mais marie line a d'autre atout, elle est mate de peau, elle est relativement grande, un superbe visage, des jambes bien bronzées, une belle bouche, elle est mariée deux enfants mais tout cela ne calme pas ma libido, je l'imagine à mes pieds, essayant de me sucer au mieux, cette situation hard tranche avec la sage Marie-line, je me demande méme si elle a déja sucé un homme !
Elle est trés sexie, elle met souvent en valeur ses jambes, un petit cul comme je les aime.
Marie-Line n'est pas une bombe comme on peut l'imaginer, ce n'est pas une blonde aux gros seins, mais une brune à la petite poitrine mais elle a d'autres argumements.
Un joli visage, une bouche gourmande, des trés belles jambes
La semaine derniére Marie line était plus bandante que jamais ! Une jupe relativement courte avec des bas noirs qui mettent en valeur le galbe de ses jambes !
De coté c'était encore plus impressionant, putain elle a une de ses paires de cuises
Je me demande ce qu'elle fait avec son mari au lit, elle m'exite avec son coté marié, bonne mére de famille, elle le suce ? elle se fait prendre par derriére ?
En somme je fantasme sur elle, et je vais vous faire profiter de ces fantasmes.
A 20 ans j'étais le plus jeune du service et je me faisais charier par les plus anciens. Dés le départ j'avais repéré Marie-Line, elle avait 10 ans de plus que moi, quelle belle femme, marié avec deux enfants mais cela n'allait pas calmer ma libido.
J'étais un amateur de films pornos, et Marie-Line ressemblait énormément à Daniella Rush, malheureusement elle est beaucoup moins salope qu'elle, sinon le bureau serait devenu un baisodrome.
J'avais un fanstame à réaliser avec elle, Marie-Line à mes pieds entrain de me sucer ma queue, et pour finir une bonne éjaculation faciale sur sa belle frimousse de femme mariée.
Un de mes collégues connaissait mes penchants pour Marie-line, mais il me confirma que je n'avais aucune chance avec elle, elle est bien trop sage pour avoir une aventure extra-conjugale.
Tout cele était bien mal parti, heureusement le destin me donna un coup de pouce
Ces derniers temps marie-line ne semblait pas étre de bonne hummeur, le jour J fut le départ en retraite d'une de mes collégues, elle organisa une soirée pour féte son départ.....
Généralement ce genre de soirée était bien guindée, surtout dans les salons austéres de la mairie de Bordeaux, le départ de jacqueline, collégue dévouée depuis plus de 30 ans du service de l'état civil, semblait étre encore une soirée particuliérement bien tranquille.
Marie-Line avait une tenue plus sexie que d'habitude, une minijupe trés courte pour une femme mariée, une mini-jupe qui mettait en valeur ses magnifiques jambes, les collants noires renforcaient le galbe de ses cuisses, et surtout des bottes qui la rendaient "plus pute".
Elle était particuliérement salope dans cette tenue, c'était suprenant de sa part, elle qui était d'habitude si sage si amoureuse de son petit prof de mari, elle nous avait pas habitué à faire profiter ses charmes tous ses collégues de travail, d'ailleurs ils étaient nombreux à baver sur la belle brune à la bouche gourmande, méme les hommes mariés ne se privaient à mater le petit cul de Marie-Line.
Je n'arrivais pas à détacher mon regard du coprs de Marie-Line; d'ailleurs je n'étais guére discret, elle allait certainement se rendre compte que je la détaillais du pied à la téte, en m'imaginant en téte à téte avec elle, prét à faire des cochoneries avec elle.
Marie-Line s'enfilait les verres de champagne à la vitesse grand V, trés rapidement elle ne semblait plus étre dans son état normal.
Au bout de 5 verres la belle brune était ivre, j'appris dans la soirée que Marie-Line avait découvert son mari il y a quelques semaines dans une situation comprometante. En quittant le boulot, beaucoup plus tot que d'habitude elle découvrit son mari entrain de pistoner le cul d'une de ses éleves de 18 ans, une blonde à trés forte poitrine.
Son mari la trompait avec une des ses éléves, marie-Line si amoureuse de son mari, voyait sa vie gachée !
Elle était complétement paumée et ne croyait plus en rien.
Marie-Line n'était plus en état de rentrer chez elle, je lui proposa de la racompagner, elle accepta. elle m'acompagna dans ma voiture, elle habitait dans la banlieue de Bordeaux. A un feu rouge, robert et alain deux collégues de travail nous proposérent de venir boire un dernier verre chez robert. Marie-line accepta, j'étais dégoutée, je pouvai me retrouver seul à seul avec elle, et me voila dans un plan à quatre.
Surout que Robert avait déja fait des avances trés poussées à Marie-Line il y a quelques mois , et celle ci évidement avait refuse, mais la belle brune semblait avoir un état d'esprit trés différent ce soir.
Robert 55 ans avait une trés belle maison, il avait fait les 400 coups avec alain 52 ans, il allait régulièrement dans "des bars à pute" mais Marie-line avait un style trés différent, BCBG, trés classe, et surtout le coté sainte nitouche de celle ci exciter les deux hommes
Ce soir Marie-Line avait envie de séduire, pendant que l'homme prépare la boisson, elle en profita pour croiser les jambes en prenant soin de retrousser sa jupe jusqu'à mi-cuisse.
Le visage de robert s'empourpra, Il avait une vue sur les jambes et les cuisses de Marie-Line. Je ne comprenais pas bien ou voulait en venir marie-line, elle cherchait à se faire violer ou quoi, surtout que les deux quiquagenaires n'étaient pas des enfants de choeur.
La jeune femme s'approche et s'arrête à un mètre des mâles.
Elle se tient droite, les mains sur les hanches et les jambes écartées.
  • Vous n'avez vraiment pas envie de passer un bon moment ? Qu'est-ce que vous attendez pour les sortir ? Elles vont exploser, vous ne croyez pas ? Souffla-t-elle les yeux mi-clos et la bouche légèrement déformée par une moue insolente.
Robert et alain étaient maintenant immobiles.
Robert n'en revenait plus de trois ans qu'il cherchait à sauter cette garce, il avait tout essayé, lui proposer un poste plus important, ou méme directement une bonne somme d'argent mais elle avait toujours refusé.
Il avait encore plus fantasmé sur Marie-Line, la période ou elle était enceinte, il avait bloqué sur seins qui avait grossi tout au long de sa maternité, il l'aurait bien culbuté à méme son bureau et voila qu'aujiourd'hui Marie-Line voulait se donner sans aucune raison.
Marie-Line, la belle brune trentenaire, la bonne mére de famille qui n'avait connu que trés peu d'aventures dans sa vie (son premier copain et son mari actuel) se comportait comme la derniére des trainées, elle n'était plus qu'une femelle en chaleur.
Marie-Line s'avança vers les deux hommes (j'étais environ à 5 métres sans pouvoir réagir) et elle plaqua chaque main sur les parties intimes pour les refermer, alain ouvra la bouche sans pouvoir prononcer un mot.
Son visage était rouge d'envie. Marie-Line sentit une pine courte mais épaisse. Son autre main s'était refermée à travers le tissu du pantalon de robert sur un sexe dure comme du bois dont le propriétaire restait sans réaction.
Les tempes de la jeune mére de famille étaient martelées par ses battements de cœur qui s'accélérent au fils du temps. Jamais la prude Marie-Line ne serait cru de tels gestes, mais l'alcool aidant et l'indidélité de son mari lui faisaient perdre toute retenue.
Il y a quelques mois ses hommes la dégoutaient, ils ont plus de 50 ans sans aucune moralité, prét à voir une aventure avec une femme mariée et en plus enceinte !
Mais ce soir le démon est en elle....
Ses doigts trés fins entame un massage doux et régulier des parties intimes, robert émet un couinement sourd tandis que son collègue respire bruyamment en soufflant.
Soudainement elle ouvre soudain les yeux en grand et se mord les lèvres pour ne pas crier, j'ai décidé maitenant que j'avais droit à ma part du gateau. Cette salope m'exite depuis trop longtemps avec ses airs de sainte nitouche
Je me suis glissé derrière la jeune femme et j'ai refermé mes mains sur ses hanches tout en appuyant mon bas-ventre sur son postérieur. Marie-Line pencha la tête en arrière et j'en profita pour coller ma bouche dans le cou de celle ci et de mordiller la chair chaude et satinée de son épaule.
Marie-Line émet un feulement aigu, jamais elle n'avait eu autant de désir, elle n'avais qu'une envie que les trois hommes la prennent à méme le sol.
Mes mains quittent ses hanches pour descendre le long des cuisses et remonter, retroussant la jupe et pétrissant fermement les cuisses de la jeune femme. Ses cuisses sont vraiment magnifiques
Robert et alain sont anesthésiés par la caresse qui, à présent, concerne leurs couilles maintenant emprisonnées dans les paumes de mains de Marie-Line.
Marie-Line lâche ses deux prises en hurlant.Je viens en effet de faire pénétrer mon majeur dans le puits trempé après avoir écarté un pan de la culotte. Elle est au bord de l'évanouissement.
La jeune femme a les yeux fermés et la bouche ouverte. Incapable de tenir sur ses jambes, c'est mon bras libre qui la soutient par la taille.
Robert s'approche et lui prend le visage entre les mains.
Elle ouvre les yeux à demi et découvre le visage rouge de l'homme qui lui fait face.
La jeune femme ouvre légèrement la bouche comme un appel. Il colle sa bouche à la sienne et une langue épaisse enveloppe celle de Marie-Line avant de tournoyer. L'individu souffle comme un bœuf. Il plaque une de ses mains sur un sein pour le masser délicatement.
En prenant possession d'une sein de Marie-Line, il trouve dommage que cette jeune salope n'ait pas plus de poitrine, avec une poitrine regonflée elle aurait encore plus de succés avec les hommes.
Mais alain voulait aussi aussi profiter des charmes de Marie-Line, elle pouvait peut étre se reveiller et partir
Il poussa légèrement son collègue, se positionne face à Marie-Line. Ensuite, il se met accroupi et son visage est à présent face au sexe de la jeune mére de famille.
Le slip baissé au niveau des genoux, Marie-Line peut écarter les jambes ce qui permet à alain de fouiller les chairs intimes plus confortablement.
La jeune femme BCBG si amoureuse de son mari, n'est plus maintenant que la derniére des trainées, prét à se faire sauter par trois hommes dont deux qui ont le double de son age !
Alain saisit les cuisses à la peau satinée et approche sa bouche de la toison humide,il enfonce le bout de la langue et parvient à entrer en contact avec son bouton d'amour qu'il se met à agacer avec application.
Jamais Marie-Line n'a connu autant de désir, il faut dire qu'elle a connu trés peu d'homme dans sa vie, elle sait trés bien que les deux hommes les plus agées sont des vieux vicieux et qu'ils ne vont pas se priver de lui faire subir tous leur caprice.
La bouche ouverte et les yeux fixes, un miaulement continu et étouffé sort de sa gorge séche.
Alain avance de nouveau ses lèvres pour recommencer à embrasser Marie-Line et enserre ses tétons à présent libérés du chemisier.
La jeune femme saisit la tête d'alain, plaque sa bouche sur ses lèvres et enroule sa langue autour de la sienne.
Au bout d'un moment, elle me repousse mais aussi Alain et Robert. Ces derniers, surpris, regardent la jeune femme enlever sa culotte qu'elle dépose sur une chaise et se déplacer vers un sofa elle s'allonge.
Nous nous placons autour d'elle, telle des assaillants autour de leur proie.
Je lui dit en hurlant
  • J'en peux plus, t'es trop bonne Cela fait trop longtemps que j'ai envie de baiser !
J'ouvre fébrilement ma braguette pour sortir mon sexe. Je me positionne entre les jambes de la femme infidèle.
Les deux autres se sont déplacé et sont de chaque côté du sofae. Robert descend son pantalon et baisse son slip.
Alain regarde Marie-Line avec envie, lui aussi veut avoir sa part du gateau.
  • Sors là ! Lui demande-t-il d'une voix sourde.
La jeune femme soutient son regard et avance les mains vers la braguette de velours déformée. Ses doigts nerveux déboutonnent l'ouverture. Marie-Line plonge une main à l'intérieur du vêtement pour entrer en contact avec une tige chaude et ferme contenue dans un caleçon.
Il saisit le poignet de la jeune mére de famille.
Marie-Line parvient à sortir un bâton de chair brune et bouillante et une paire de couilles gonflées. Le sexe est droit comme une baguette. Elle prend la hampe avec ses deux doigts et tire légèrement sur le prépuce pour faire apparaître un gland rond et luisant.
Elle procède de la même manière avec Robert qui se trouve au bord de l'apoplexie.
Elle esquisse un sourire vengeur et a une pensée furtive pour son mari.
Sentant qu'il ne résistera pas très longtemps, elle gobe le sexe de robert.
  • Oh, c'est pas vrai, suce, oui, suce bien salope !
Robert, la mâchoire serrée et les poings serrés est au bord de l'effondrement.
Sa voix sourde est déformée et ressemble à une plainte.
L'épouse infidèle, creuse les joues et aspire la queue. Elle sent la bite se cambrer contre son palais et sort le sexe de sa bouche. Elle astique la hampe et tente de tourner la tête lorsque les jets de sperme giclent en saccades pour atterrir sur sa poitrine mais Robert se finit sur le visage de Marie-Line aux grands mécontentements de celle ci .
Enfin, à bout de souffle et épuisé, il s'écarte, il adore éjaculer sur le visage de ses maitresses et Marie- Line sera une femme supplémentaire sur son tableau de chasse .
Alain saisit le poignet de la jeune femme afin d'appliquer un mouvement de masturbation. Il sait trés bien qu'il ne pourra jamais assurer sur ce jeune pouliche, il préfére que Marie-Line la branle tel un adolescent
Alain se raidit brusquement les mâchoires crispées et le souffle coupé. Le méat libère une longue traînée blanche qui s'étale sur le ventre de Marie-Line. Il s'écroule ensuite sur une chaise, abruti.
Je plonge ma main dans une de mes poches de mon pantalon pour en extraire une pochette de préservatif, l'ouvre, saisit la capote et la fait glisser sur mon sexe. Je saisis ma bite d'une main et l'enfonce progressivement dans son vagin, une grimace aux lèvres.
Je me dit que Marie-Line n'est peut étre pas l'oie blanche que je crois, et je ne veux pas prendre le risque de chopper une saloperie
Je m'empare des hanches de Marie-Line qui se cambre en poussant un cri strident, la tête est en arrière et la bouche ouverte. Elle replie les jambes autour de ma taille qui commence, avec une régularité de métronome, à la posséder.
Le grincement du sofa raisonne dans la salle ainsi que les gémissements de Marie-Line.
Je n'en reviens pas, je suis entrain de la faire jouir, je l'ai complétement à ma pogne, la mére de famille n'est plus qu'une femelle en chaleur
  • Putain Tu es trop bonne !
  • Doucement ! Répond Marie-Line , que les coups de boutoir secouent vigoureusement.
Mais je ne l'écoute pas, j'accélére encore mes coup de pine
La jeune femme me fixe .Mes mouvements de reins deviennent de plus en plus désordonnés jusqu'à ce que je me crispe dans un dernier assaut, le visage déformé par une grimace de plaisir. Un grognement étouffé sort de ma gorge pendant qu'elle pousse un cri strident. Je me retire de son vagin, enléve la capote et termine par une éjaculation sur le haut de son visage.
Elle referme son chemisier avant de descendre pour récupérer son slip qu'elle glisse dans son sac à main resté à proximité. Puis, elle remet un peu d'ordre dans sa coiffure.
Alain ne peut s'empécher de lui dire avant qu'elle parte
Je t'avais dit que je te baiserai !

Tu est quand méme une sacrée chaudasse sous tes airs de bonne mére de famille


Jeanjacques

Marie-line et la police

Cette histoire est la suite des aventures de Marie-Line
Cette histoire est déja existante sur un autre forum (crée par mes soins l'histoire), et je l'ai modifié pour un second épisode sur Marie-line, ce n'est qu'un fantasme.
Un peu plus d'un an et demi aprés sa folle soirée avec ses trois collégues (dont moi), la situation de Marie-Line avait bien évoluée, elle avait divorcé de son mari, et elle avait été pendant plus d'un an la maitresse d'alain Chef de service à la Mairie de Bordeaux, celle liaison avait permis à la belle brune de devenir rédacteur, c'était une sacrée promotion canapé.
Alain avait un sacré appétit sexuel et chaque matin Marie-Line devait administré une fellation à celui ci, leur liaison avait duré un an, mais elle en avait assez d'étre un objet sexuel pour alain. Il avait demandé à sa jeune maitresse de se faire augmenter la taille de ses seins sinon il la quitterait, Marie Line n'avait pas les moyens financiers de se passer de l'aide pécuniére du quinquagénaire, elle avait donc accepté.
Marie-Line était déja le genre de femme que l'on repérait facilement dans la rue, mais en augmentant la taille de ses seins, elle devint rapidement l'objet de toutes les convoitises.
14 heures 15 : Marie-Line était déja en retard de 15 minutes, c'était une catastrophe pour elle. Le nouveau directeur de Cabinet du Maire était pour le moins tatillon, elle allait prendre une de ses souflantes !
Pourtant elle était appréciée par l'ensemble du personnel municipal, non pas pour ses compétences professionelles, mais surtout par son physique, et surtout depuis que la belle brune avait vu sa poitrine augmentée. On savait qu'elle était la maitresse d'un chef de service qui aurait pu étre son pére, et on avait taillé à Marie-line une réputation de salope
Elle portait souvent des collants noirs qui mettaient en valeur ses magnifiques jambes, dans la mairie on l'appelait "la Pin-Up", depuis son opération , méme des imposants pull-over ne pouvaient cacher son opulente poitrine, et pour "une maigre" c'était encore plus marquant .
Elle fonçait dans les rues de Bordeaux, elle dépassa le centre ville à toute allure, encore trois feux elle était arrivée devant la mairie, mais le prochain feux était trés long, il commenca à passer à l 'orange, elle accéléra et passa le feu quand catastrophe, un sifflement strident ! C'était la police, elle s'arréta quelques métres plus loin....
3 points voila ce qui lui restait comme point. Marie-Line était catastrophée, elle risquait une forte ammende, la perte de son permis.....
Elle connaissait tous les policiers municipaux, malheureusement c'était les nationaux !
"Bonjour Madame Sortez du Véhicule, coupez le contact" ordonna Vincent.
Le deuxiéme policier était resté en retrait, Franck avait 22 ans comme vincent, mais franck n'avait pas un physique avantageux à la différence de vincent qui était considéré comme le play boy du service.
Tout de suite Franck avait été attiré par le physique de Marie-Line, surtout par sa paire seins moulée parfaitement dans un pull-over noir.
Elle sortit rapidement de sa voiture avec un large sourire enjoleur, elle tentait le tout pour le tout, le coup du charme "Oui messieurs J'ai fait quoi ?" dit elle candidement.
Depuis son opération elle utilisait de plus en plus ses charmes, elle fit face à Franck, elle était quasiment aussi grande que lui.
"Vous avez grillé un feu Madame ! Donnez moi vos papiers s'il vous plait ! On va controler tout cela "
"Tenez Monsieur ! Mais vous étes certain que j'ai grillé ce feu"
"Oui bien sur ! On est tout les deux avec mon collégue à avoir vu l'infraction !"
"Allez Monsieurs Soyez sympa j'était pressé, c'est juste un feu"
Franck malgré le froid suait, cette femme était vraiment trop bonne, un véritable fantasme, visage d'ange, gros seins, bien classe, un petit cul.
Vincent ne savait plus quoi répondre, Marie-Line lacha la phrase qui tue "On peut s'arranger peut-étre Messieurs"
Sur le coup elle n'avais pas bien compris la portée de ses mots....
Comment cela s'aranger ?"
"Je sais que vous policier vous ne gagnez pas grand chose, je vous donne 50 euros en liquide, et vous me laissez partir !"
" 50 euros ! Vous nous prenez pour qui, on ne mange pas de ce pain, allez suivez nous, on va aller à la fourgonette , pour notifier tout cela sur un rapport " ordonna vincent.
Furieuse elle monta dans le véhicule de la police, les deux policiers faisaient face à la délicieuse Marie-Line vincent lança une oeillade à Franck.
"Bon écoutez Madame, mon collégue se demande depuis tout à l'heure votre tour poitrine, il fait du combien ?"
Marie-Line était complétement interloquée
"Mais vous me prenez pour qui ? Vous voulez en venir ou ?"
"Ya juste mon collégue, il adore les femmes à forte poitrine, et de coté vous semblez bien pourvue, c'est du naturel ?" en montrant du doigt la poitrine de la belle brune.
"mais...vous étez vraiment....que...deux porcs...jamais je ne..."
"300 euros pour insultes à agent en service, la note commence à monter, allez fait pas ta mijorée enléve ton pull"
Aprés avoir réfléchi quelques secondes, elle retira son pull, son soutien gorge était noir mais il était trés solide pour soutenir ses gros seins, sa poitrine semblait lourde trés lourde, elle était aussi mal à l'aise le jour ou elle s'était retrouvée devant son médecin de famille, un mois aprés son opération mamaire .
Le médecin l'avait regardé comme une belle femelle exitante, celui adorait les femmes aux gros seins, avec une telle poitrine Marie-Line faisait encore plu salope.
Les deux policiers étaient scotchées devant les mamelles de Marie-Line mais vincent repris la parole
"Donne moi tes papiers, je vais vérifier quelque chose"
En consultant sa carte d'identidée il lui demanda
"Tu as donc 30 ans et ben ma salope tu est super bonne, bien plus bandante que des jeunettes de 20 ans.
"Mais vous voulez quoi ?"
Ce que l'on veut, à ton avis ? Mais c'est simple c'est de te la mettre au fond !.
Franck prit en pleine poire le coup de poing de la belle trentenaire, il fut tellement surpris qu'il se retrouva rapidement sur le cul, en a peine deux secondes il s'était relevé prét à assommer Marie-Line, vincent arréta le poing de son coéquipier.
"Espéce de con, tu ne vas pas frapper sur une elle , je préfére 100 fois la baiser que de lui cogner dessus"
Vincent reprit la parole "Bon Madame,on va donc rajouter coup porté à fonctionnaire, exibitionnisme, cela va bientot passer au civil, vous risquer la prison maintenant, c'est trés simple ce que l'on veut faire c'est une partie à trois, et puis on va se dépécher ma petite femme m'attend à la maison, je suis marié depuis 2 mois et elle est trés impatiente ma femme, allez retires tout maintenant !!!!"
Marie-Line regarda les deux hommes droit dans les yeux pour les défier et retira lentement son soutien-gorge, les policiers se rendirent compte tout de suite que sa poitrine n'était pas naturelle, jamais il n'avait vu une telle paire de seins, ils étaient particuliérement toniques"
"eh ben dis dont ma belle tu me sembles un sacré petit lot, allez la suite maintenant, ta jupe, tes collants, ta culotte"
Elle avait maintenant les larmes au yeux, elle n'était plus qu'un objet sexuel qui allait assouvir les désirs sexuels de deux jeunes étalons, elle continua de se déshabiller et rapidement elle se retrouva nue.....
Malgré ses succés féminines jamais vincent n'avait comtemplé une telle pouliche, grande, belle classe, pour Franck n'en parlons méme pas !
Allez On va commencer par du classique une bonne pipe" demanda vincent
" Ouais, je veux bien. Pourquoi tu ne te mets pas à genoux ? J'ai envie d'une bonne pipe, là, tout de suite!"rajouta franck
Les mots ne sortent plus de la bouche de Marie-Line car elle fait ce que le policier lui a demandé, se met à genoux devant lui, confrontée à la taille imposante de sa grosse queue bandée car le policier avait rapidement sorti sa pine de son pantalon. Elle réalise qu'elle respire fort, vincent s'est mis à l'éccart .
Son cerveau est comme déconnecté, elle n'est plus très sûre d'être dans le monde réel ou dans un rêve. Elle ne peut pas croire qu'elle va réellement pousser le sexe de cet homme inconnu il y a quelques minutes vers le fond de sa gorge et avaler ses giclées de foutre chaud.
Elle enroule ses doigts étroitement autour du membre tressautant, fait glisser son poing qui ne peut se fermer complètement à la base. Elle regarde attentivement le gros gland pendant plusieurs secondes, admire le méat brillant de gouttes de sperme collées sur les bords.
Elle baisse la tête, pose ses lèvres à l'extrémité du gland. Honteusement elle darde sa langue, lèche ardemment le jus savoureux de la bite luisante.
" Ooohhh! C'est bon !" franck se cambre , tient sa tête avec les deux mains. " Mets-la dans ta bouche ! Suce-la ! Je sais que tu en meurs d'envie. Ooohhh, suce-moi bien salope !"
Marie-Line ferme les yeux, essaie d'oublier qu'elle devient maintenant le genre femme qui est capable de tailler une plume à un policier pour éviter de perdre des points pour son permis. Graduellement elle laisse ses lèvres glisser sur sa grosse bite, absorbant cm après cm cette trique géante et palpitante. Elle s'arrête quand elle a absorbé plus d'un tiers du mandrin, réalisant qu'elle risque de s'étouffer si elle veut en avaler davantage. Elle se rapelle son surnom au lycée "Gorge Profonde", à l'époque elle était trés amoureuse de son premier petit copain, il avait menacé de quitter Marie-Line si celle ci ne lui taillé pas une pipe, éprise de son boy-friend elle avait accepté ce petit caprice, le lendemain le jeune homme s'était venté des performances bucales de Marie-Line
Alors Marie-Line commence à sucer la queue extrêmement dure, les yeux fermés, tout en s'étonnant sur la rigidité fabuleuse de cet engin. Une petite voix absurde dans son esprit essaie toujours de justifier ce qu'elle est en train de faire.
Elle pompe la bite qui devient de plus en plus dure, choquée elle-même de l'ardeur avec laquelle elle est en train de sucer ce jeune policier. Elle avance davantage son visage, plus près de la base velue, écartant les mâchoires autant qu'elle peut, . La queue énorme répond à sa succion dure et humide par un grossissement en taille et en raideur. Le gland énorme pointe de façon obscène vers le haut.
" Ummlllppp, " s'étouffe le jeune mére de famille.
Ses bruits obscènes de succion et ses gémissements de contentement sont devenus très fort, emplissant la fourgonette. Fébrilement elle commence à hocher la tête de haut en bas, baisant sa bouche avec la grande queue de ce garçon. Ses doigts sont serrés comme ils peuvent sur la base de son membre. Elle commence alors à secouer vigoureusement le mandrin tout en suçant l'extrémité, faisant tourner sa langue autour du gland, l'arrosant de salive, aspirant quand elle le sent qui ruisselle.
Plus vite elle le ferait jouir, plus vite elle serait tranquille
" Hhhmmm, je vais juter !" gémit Franck. " Ooohhh! Cà vient, ! Je vais tout lâcher tu sais! Ah, suce-moi, suce-moi à fond! T'es une suceuse fantastique!"
Ce compliment répugnant, choquant, est musique à ses oreilles. Elle se sent rougir pendant qu'elle commence à pomper la grosse tige aussi dur qu'elle peut, ses joues gonflées par l'épaisseur et la raideur
de la trique. Son poing est devenu un piston qui va et vient sur le membre gigantesque. Elle a hâte maintenant de sentir la décharge dans sa bouche, hâte de devoir avaler aussi rapidement qu'elle le pourra tout le sperme dégorgé par le policier.
" Avale tout s'il te plaît ! Je jute... je juuuuuuute !"
Il saisit sa tête, elle commence à s'étouffer au moment où ses talents de suceuse obtiennent leur juste récompense. Un jet énorme de sperme jaillit du gland gonflé, se répandant dans sa gorge.
Elle s'accroche à l'énorme bâton crémeux, appréciant le goût du liquide du jeune policier. Honteuse, elle continue néanmoins de secouer et de sucer en même temps, ne voulant pas libérer la pine de son garçon avant d'avoir pompé jusqu'à la dernière goutte de cette crème salée.
"eh ben dis dont j'en ai connu des voraces mais comme toi jamais "dit franck
Eh ben c'est à mon tour maintenant ma belle, ordonna vincent. Je vais faire quoi avec toi s'interrogea t-il
Vincent n'en revenait pas, Marie-Line avait vraiment un corps magnifique, pas un poil de graissse, il n'y avait rien à jeter sur cette magnifique femme, et quelle suceuse !
Il était marié depuis 2 mois à une asiatique de 21 ans, il y avait bien quelques sentiments entre eux mais c'était surtout une sacré affaire au lit, malheureusement son épouse était plate, et il adorait les femmes bien mamelues. Ce probléme allait étre résolue bientot, sa femme allait se faire augmanter la taille de ses seins pour satisfaire les envies de son mari.
Vincent était encore dans ses pensées mais il se reveilla de sa torpeur.
"Eh ben, tu vas me faire une cravatte de notaire pour terminer tout cela" affirma vincent.
"une cravatte de notaire....mais c'est quoi ?"
"Tu ne sais pas ce que c'est une cravatte de notaire ?, avec le matos que tu as c'est vraiment dommage..."
"Une cravatte de notaire c'est juste que tu va me branler avec des seins ! Allez dépéche toi ma femme m'attend"
Vincent avait éjaculé pendant la gaterie de la jeune mére de famille à franck, il se remasturba, en voyant le corps de la belle brune, il reprit rapidement de la vigueur, elle était toujours sur les genous, le policier se mit à la hauteur de ses seins.
"Allez met ma bite entre tes seins, compresse bien mon sexe et fait des va et vient"
"putain tu me fait mal à la bite, crache sur tes seins pour que cela coulisse bien, et met des coups de langues sur ma bite"
Les seins de Marie-Line étaient vraiment moelleux et la situation tellement exitante que vincent ne tint pas longtempts, il gigla en premier sur le haut des seins de sophie et se termina sur son visage....
Marie-Line ne paya pas sa contraventation et ses différents délits, les deux policiers repartirent franck avec le soutien de gorge et vincent avec sa culotte.
Deux mois plus tard, les deux hommes furent révoquées de la police, ils avaient demandé à une étudiante de 18 ans une pipe en échange de leur mansétude, c'était la niéce du Préfet !.


Jeanjacques

Un fantasme réalisé

    Avec ma femme, Bianca, nous pratiquons l'exib soft. Nous avions envie tous les deux de passer à de l'exib un peu plus hard. Après discussion sur les scénarios, je me suis attelé à trouver une âme charitable qui accepterait de jouer au voyeur à nos conditions. J'en ai parlé à un cousin que je considère comme mon petit frère, je savais qu'il était un peu voyeur, comme quasi tout le monde, mais c'est surtout parce que j'ai une entière confiance en lui que je lui ai proposé notre scénario, qu'il a accepté.
Le jour venu, nous sommes à la maison, Bianca n'est pas au courant de la personne qui va matter. Bianca a une longue jupe boutonnée sur le devant, un chemisier blanc et en dessous, un bustier et un string légérement transparent. Mon cousin me prévient qu'il sera chez nous dans 5 minutes, il a garé sa voiture deux rues plus loin que la maison pour que Bianca ne sache pas que c'est lui.
J'ai bandé les yeux de Bianca, mon cousin est arrivé. Bianca est assise dans le divan, j'ai commencé doucement à ouvrir les boutons de sa jupe, je sentais la respiration de Bianca s'accèlérer, tandis que mon cousin observait en silence, il voyait maintenant les jambes de Bianca, à hauteur des jarretelles, j'ai arrêter et j'ai commencé à ouvir lentement les boutons de son chemisier. J'ai enlevé complètement son chemisier et j'ai déboutonné le reste de sa jupe, elle est maintenant face à lui en bustier et en string, mon cousin continue à l'admirer et toujours en silence, il peut voir par légére transparence que son sexe est presqu'entièrement épilé. Je la fait pivoter pour qu'il puisse aussi admirer ses jolies fesses. Petite pause, une coupe de champagne pour chacun, événement oblige. Je dégrafe son bustier, et enlève son string, elle est complètement nue et l'excitation se fait sentir. Je chuchote à Bianca si elle désire continuer le scénario que l'on avait décidé ou si on arrête, elle me dit qu'elle désire continuer. Elle s'assied alors dans le divan et écarte les jambes pour faire découvrir son intimité à mon cousin qui commence à être méchamment excité, je m'en rends compte à la bosse à son pantalon, je suis dans le même état que lui. J'écarte les lèvres de son sexe pour dégager son clitoris que je commence à caresser, elle est super excitée, j'arrête de la caresser et je lui donne le gode vibrant (double avec ‘oreilles de lapins' pour stimuler le clitoris), elle le fait pénétrer en elle, elle commence à jouir, elle continue à laisser le gode caresser son clitoris. Elle a joui 3 fois en moins de 15 minutes, je lui chuchote à l'oreille que le voyeur est maintenant occupé de se masturber (ce qui est faux, car j'avais convenu avec lui qu'il ne devait que regarder), je la laisse imaginer et elle ne tarde pas à jouir une quatrième fois. Je la laisse se reposer et mon cousin va maintenant partir, il me demande quand même s'il peut passer aux toilettes avant, car il a un besoin urgent.
Quand il est parti, nous avons fait l'amour comme des fous, elle ne sait toujours pas qui était le voyeur, elle aussi essayé de savoir s'il avait joui, comment était son sexe, je lui ai simplement répondu que je lui laissais imaginer.

Par Jagger

Une exhibition soft 

" Nous avions un copain célibataire, fin de la cinquantaine, timide au point de n'avoir jamais osé approcher une femme. Ce copain tenait un petit bistrot de quartier où nous allions régulièrement boire un verre avec ma femme Bianca. Un jour lors d'une conversation de comptoir alors que Bianca était restée à la maison, on commence à parler sexe, le copain que j'appellerai Yves, sous l'effet de l'alcool se déride, et me dit qu'il trouve Bianca très jolie, et qu'elle est son style de femme, mince, petits seins… Nous n'en avons plus jamais reparlé.
Plusieurs mois plus tard, il nous annonce qu'il va remettre son bistrot car il est atteint d'un cancer, évidemment gros émoi….Il loue un petit studio, se fait soigner, chimio, operation et j'en passe. Il n'a plus voulu voir personne pendant plusieurs mois quand un jour je reçois de lui un SMS nous demandant de passer pour lui dire bonjour, il nous annonce que son cancer est incurable et qu'il n'en a plus que pour quelques mois. Le studio est dans un désordre indescriptible et sale. Bianca propose à yves de venir une après midi pour ranger et nettoyer son studio, rendez-vous est pris pour le samedi après midi suivant. Ne partez pas, j'arrive au vif du sujet… J'explique à Bianca la conversation que j'ai eue avec Yves, lui expliquant qu'elle était le genre de femme qu'Yves aimait. Un de nos fantasmes étant l'exibition soft et que nous n'avions jamais réellement assouvi ce fantasme, je lui propose que lorsque nous irons nettoyer le studio, de s'habiller sexy, après réflexion elle accepte. J'envoie un petit message à Yves lui disant que nous serons là samedi vers 14h, et qu'il ouvre bien les yeux, car il risque d'apercevoir des choses qui sont habituellement cachées, il ne comprend pas très bien le sens du message, je lui réponds qu'il comprendra samedi.
Enfin, samedi après midi, Bianca a mis une jupe qui lui arrive à mi cuisse, pas tro serrante, un t-shirt boutonné sur le devant, elle est complètement nue en dessous de sa jupe et de son t-shirt. Il n'a pas fallu beaucoup de temps à Yves pour comprendre le sens de mon message, quand Bianca a commencé à ranger le studio, il m'a fait un large sourire avec un clin d'œil. Bianca n'a jamais été provocante, quand elle s'abaissait près d'Yves, elle lui laissait le temps d'apercevoir ses seins mais jamais trop longtemps, il a aussi pu voir ses jolies fesses lorsqu'elle nettoyait. Lui qui d'habitude est blanc comme un linge, croyez moi, il avait des couleurs, et moi j'étais au comble de l'excitation, et pour cloturer après le nettoyage, elle s'est assise en face d'Yves, elle a croisé et décroisé ses jambes plusieures fois, il a pu apercevoir son sexe lisse, je pouvais aussi voir le sexe de Bianca en même temps que lui, et croyez moi, mon sexe était dur comme du béton.
Il nous a remercié tous les deux et nous sommes partis. Bianca était dans un état, elle m'a dit sur le chemin du retour, qu'elle se doutait que je bandais comme un cerf et qu'elle avait envie de me sauter dessus et de se faire prendre devant lui, mais elle a eu peur qu'il ne la touche, car elle aime montrer mais ne veut pas qu'un autre que moi ne la touche. Quand nous sommes rentrès, je vous explique pas la partie de jambes en l'air. J'ai revu Yves la semaine suivante, il n'osait pas m'en parler, c'est moi qui lui ai demandé comment il trouvait Bianca, il m'a simplement répondu, encore mieux que je pouvais l'imaginer.
Yves est décédé trois mois plus tard.
Il y a maintenant 4 ans que ça s'est passé, et quand nous y pensons, on est toujours aussi excité. "

par Jagger

Une heureuse rencontre vierge

" 14 juillet 1990. Mes parents & moi sommes invités chez des amis qui ont une fille, Virginie, de trois ans ma cadette. Jolie blonde pleine de charme et sensuelle pas allumeuse pour un rond. La soirée se passe à manger et boire, festoyer quoi! Le petit jeu qui s'était instauré entre elle et moi, entre chaque plat servit, allez dehors fumer une clope à l'air frais. La cigarette tourne entre nous deux, les gestes sont lents et nous nous effleurons. La discussion fatale vient sans prévenir: "Pourquoi, deux ans plutôt, m'as-tu plaqué?" Un peu géné, je lui avoue qu'à mon âge de l'époque (15 et des poussières), j'attendais autre chose qu'une relation faite de baisers au bord de la piscine. Elle fond en larmes, je la console avec des mains de plus en plus agiles et comme dirigées avec tacite consentement vers son fessier à la peau lisse. Le jeu se calme un peu, le feu d'artifice et le champagne conclut la soirée, enfin presque. Mes parents sont HS et ne veulent pas prendre la route, on reste dormir!!!! A partir de là, tout bascule. La chaleur moite de cet été, la fenêtre ouverte vers le jardin, il est 3 heure du mat, quand surgit Virginie qui n'arrive pas à dormir et veux fumer une clope en compagnie...Je la déshabille du regard, depuis qu'elle est entrée, à la lueur de la pleine lune, elle allume donc cette clope, tire dessus comme une folle et me lâche tel quel :" J'ai un peu froid, tu m'acceuilles?".
Elle en nuisette, moi à poil sous les draps. Je lui balance, en soulevant le drap: "oui, mais ne te cache pas derrière ce morceau de tissu, fais moi voir ce que je devine..." Je m'en rappelle comme si c'était hier, j'en ai la trique en ce moment même. Une blonde véritable, mais encore jeune...
Je la caresse sans oublier le moindre mm² de peau, elle m'avoue qu'aucun copain n'a eu le droit de faire ça, je lui réplique que ce soir je ne suis pas son copain mais son amant. Ne tenant plus et ayant repoussé plusieurs fois ses mains inexpérimentées, je l'enfourche, et délicatement la pénètre, elle se mord les lèvres, murmure quelque chose que je ne comprends pas, elle bouge en rythme, se laisse aller et moi aussi d'ailleurs. C'était sa première fois  Je la lèche partout, elle frissonne, remonte le drap, je bascule sur le côté, elle m'empoigne le sex et se délecte avec. Elle m'avouera, à l'aurore, avoir mater une vidéo X avec des copines.
Raconter la totalité de cette nuit magique serait laborieux mais je n'ai jamais vécu ça une deuxième fois, par contre déflorer d'autres copines, oui, mais ce sera une autre histoire. "

Par Gèmça

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